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« Les jours les plus beaux et les plus doux ne sont pas ceux
où il se passe des choses particulièrement belles, merveilleuses ou passionnantes.
Ce sont ceux qui apportent des plaisirs simples, qui se succèdent en douceur. »
Lucy Maud Montgomery
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Comme l'eau contient de l'oxygène, nous sommes fait à plus de 70% de liquide,
Allons à la source de notre vie pour apprendre à mieux respirer,
Respirer c'est aussi apprendre à mieux assimiler notre nourriture,
le souffle de notre vie, sachons mieux le gérer.
pour une meilleur digestion , ne bloquons pas notre corps avec le stress .
La question à se poser
Respirez-vous suffisamment
Comme on peut juste vivre, on peut aussi juste respirer.
Comme on peut mettre de la qualité dans notre vie,
on peut également mettre de la qualité dans notre respiration.
L'oxygène est notre CARBURANT le plus important,
plus que la nourriture et le sommeil.
Respirer vient du latin" respirare", revenir à la vie
4 principaux facteurs qui bloquent notre respiration
* Le stress
* La peur
* La douleur
* La violence
Quand l'esprit est tendu, le corps le devient et vice versa.
Souvent on a pas le choix d'être confronté au stress,
mais on peut diminuer les effets dévastateurs.
Il est important d'inspirer, mais c'est aussi important d'expirer.
Nous sommes toujours trop plein d'air vicié.
Notre respiration est en général beaucoup trop courte.
On inspire uniquement dans la partie haute des poumons
et on oublie de nourrir la partie basse.
La majorité des cancers du poumons se situent
dans la partie basse de nos poumons qui ne s'oxygène pas.
Les soupirs, les bâillements, sont des respirations de dépannage.
ÉCOUTE DE LA RESPIRATION
La solution à notre mauvaise respiration est de rééduquer
notre respiration.
Ce n'est pas la technique qui guérit,
mais c'est ce qu'elle apporte au corps qui guérit.
Effets du contrôle de la respiration sur le système
Ralentit le coeur
Ralentit la circulation sanguine
Relâche les muscles
Aide à contrôler le mental
Respirer c'est vivre, bien respirer,
c'est bien vivre"
La bonne santé dépend d'une respiration libre
et décontractée.
Cette puissance créatrice est là pour nous aider
à vivre en santé et en beauté .
La respiration profonde aide à vaincre le stress
et apporte une grande provision d'oxygène,
ce qui a pour effet de régénérer le sang et les cellules du cerveau.
La pratique respiratoire permet de développer
une capacité pulmonaire plus grande et favorise le repos du cœur,
cet organe si précieux.
Une bonne respiration consciente favorise la décontraction des vertèbres
cervicales et fait disparaître certains malaises,
tels que maux de tête et hypertension.
Une respiration profonde nous rend souple et fort.
Respirer consciemment libère et chasse toute crainte et tension.
Le souffle apporte la paix, la confiance et la sérénité.
La puissance de la respiration permet le développement
des facultés mentales,
de fortifier la mémoire
et d'augmenter la faculté de concentration.
Bien respirer provoque des changements bénéfiques ,
tant psychologiques que physiologiques
La persévérance
La patience vous apportera des résultats surprenants.
Il faut savoir attendre. Ce n'est pas de la morphine
que l'on prend, mais plutôt une façon naturelle de vivre détendu
et heureux.
La principale respiration, est la respiration yoguique.
C'est celle qui nous permet un contrôle total de notre organisme.
Voici comment la pratiquer.
Mais ce n'est pas du jour au lendemain que vous aller réussir.
La respiration yoguique
La respiration yoguique se fait toujours par le nez.
On inspire par le nez et on expire par le nez.
Tous les exercices de respiration commencent par l'expiration.
Elle se divise en trois (3) phases.
1. Respiration abdominale
Notre attention se dirige vers la région ombilicale.
Par le nez nous inspirons lentement tout en faisant
descendre le diaphragme,
la région abdominale se gonfle et la partie inférieure
des poumons s'emplit d'air.
Dans l'expiration, la région abdominale est fortement ramenée vers l'intérieur,
ce qui force l'air a sortir des poumons.
La poitrine reste immobile.
EFFETS : Détente cardiaque, stimulation de la digestion,
régularisation des intestins. Massage des organes abdominaux.
2. Respiration thoracique
Notre attention est dirigée vers les côtes.
La partie médiane de nos poumons s'emplit d'air.
Les côtes s'écartent vers l'extérieur. Les épaules et l'abdomen restent immobiles.
EFFETS : Rafraîchissement de la circulation sanguine vers le foie,
la rate, l'estomac, la vésicule biliaire et les reins.
3. Respiration claviculaire
Notre attention est dirigée vers les clavicules ou la partie supérieure des poumons.
En inspirant nous soulevons les clavicules et les épaules.
En expirant, nous abaissons lentement les épaules et nous chassons l'air
des poumons.
EFFETS : Aération complète de la partie supérieure des poumons
Voici un type de respiration qui vous permettra d'agrandir votre capacité pulmonaire.
Le souffle qui nettoie
Effets thérapeutiques
Cette respiration chasse les toxines qui sont dans le sang
et renforce notre système immunitaire.
L'air impur respiré dans des lieux mal aérés,
est expulsé des poumons et du sang.
Les maux de tête, les rhumes, l'influenza sont guéris rapidement.
En temps d'épidémies, cet exercice de respiration est indispensable
car il empêche la contagion.
Dans ce cas, il est recommandé de la pratiquer à cinq reprises chaque jour,
trois fois à chaque reprise. En cas d'empoisonnement par du gaz
cet exercice est une bénédiction.
De plus, cette respiration accroît la confiance, triomphe de l'hypocondrie.
Exécution:
Debout, dès que les poumons sont complètement remplis d'air frais,
l'expiration commence comme suit:
Les lèvres sont appuyées fortement contre les dents,
et s'écartent pour laisser une mince fente.
Par cette étroite ouverture, nous expulsons l'air en un certain nombre
de mouvements brefs et saccadés.
Il faut avoir l'impression que la bouche n'est pas ouverte du tout,
et qu'un grand effort est requis de la part des muscles abdominaux
et intercostaux et de notre diaphragme pour obliger l'air à passer
par la mince fente.
Nous ne devons pas souffler l'air fortement c'est-à-dire d'un seul coup .
On doit rejeter l'air en y mettant un certain effort par "petit coup"
mais pas trop doucement.
Respiration Uddiyana-Bandha
Toujours commencer une scéance de respiration par une respiration yoguique complète
En position coucher sur le dos, inspirez en fléchissant les genoux. Bloquez la respiration. Ramener la paroi abdominale vers l'intérieur dans un mouvement de succion.Provoquer un va-et-vient incessant de l'abdomen. Répétez 3X.
À faire 1 heure après le repas.
Quand on maîtrise bien cet exercice, on peut le faire en position assise du lotus.
Effets:
Masse les viscères
Décontracte le plexus solaire
Facilite la digestion
Aide à éliminer les gaz et l'acidité
Décongestionne le foie
Favorise le bon fonctionnement des instestins et du côlon
Diminue la nervosité.
SOUFFLE "HA" DEBOUT
Exécution
Debout, les jambes écartées, inspirer comme dans la respiration yoguique complète. Pendant l'inspiration, élever les bras lentement jusqu'à la verticale, retenir le souffle pendant quelques secondes, puis se pencher brusquement en avant, en laissant tomber nos bras devant nous et en exhalant par la bouche tout en émettant le son HA. Dans l'expiration, ce son doit être produit par la poussée même de l'air et non par l'appareil vocal. Puis inspirer lentement en se redressant, en relevant de nouveau les bras verticalement et expirer lentement par le nez en abaissant les bras.
Effet thérapeutique: Rafraîchit la circulation du sang, nettoie complètement les voies respiratoires, combat la tendance à avoir froid.
Effet psychique:
On se sent propre. Lorsqu'on est dans un milieu malsain, l'ambiance malpropre s'attache à nous et provoque chez-nous, quand nous en sommes sortis, un état de dépression et une sorte de nausée mentale. Dans ce cas le souffle HA élimine effectivement les toxines mentales et chasse rapidement le sentiment de dépression.
COUCHÉ
Exécution
Couché à plat sur le dos, inspirer comme dans la respiration yoguique complète, tout en élevant lentement les bras et en les ramenant en arrière jusqu'à ce qu'ils touchent le sol. Retenir le souffle pendant quelques secondes, puis élever rapidement les jambes, plier brusquement les genoux, entourer nos jambes de nos bras, appuyer les cuisses sur l'abdomen et, en même temps, expirer par la bouche avec le souffle HA. Après quelques secondes de repos, commencer à inspirer lentement, en dressant les bras au-dessus de la tête. En même temps dresser verticalement les jambes et les abaisser ensuite lentement jusqu'au sol; puis, après quelques secondes d'arrêt exhaler lentement par le nez en abaissant les bras le long du corps. Après quoi il faut se détendre complètement. Effet thérapeutique: Le même que pour le souffle Ha exécuté debou
D'autres exercices respiratoires viendront s'ajouter dans les semaines à venir
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A l’état de foetus, nous démarrons la vie en étant constitués à 99 % d’eau. A la naissance, nous sommes pour 90 % d’eau et, arrivés à l’age adulte, le pourcentage a baissé à 70%.
Si notre vieillesse se prolonge, nous serons probablement tombé à 50 %. En d’autres termes, tout au long de notre vie, notre condition d’existence est essentiellement l’eau.
Du point de vue physique, les humains sont de l’eau. Lorsque je réalisai cela et commençai à contempler le monde à partir de cette nouvelle perspective, je me mis à voir les choses d’une tout autre façon. En premier lieu, je réalise que cette connection avec l’eau s’applique à toute la population.
Ce dont je parle s’applique à chacun, tout autour du globe.
Au commencement était le verbe et pas lui tout a été fait, Gâce à la science de cet homme Masaru Emoto , c'est prouvé !
Les travaux d'Emoto montrent l'influence d'énergies de tous ordres sur l'eau
Ce qui va de soi depuis des siècles pour la médecine énergétique reste contesté encore de nos jours par des milieux (dits) scientifiques :L'eau est sensible aux informationsMais la vérité est comme l'eau, on ne peut la retenir indéfiniment.
En général, des chercheurs qui cherchent, on en trouve,mais des chercheurs qui trouvent, on en cherche! Et bien, Masaru Emoto a trouvé, lui, une technique très simple pour mettre en évidence la qualité de l'eau.
Il en apporte donc non seulement au moulin de Benveniste et sa fameuse "mémoire de l'eau", de Roland Plocher et son système d'énergie, mais aussi de Hahnemann et tous les homéopathes et des millions de personnes qui n'ont d'ailleurs pas attendu que la médecine "officielle" vienne leur confirmer que leurs thérapies énergétiques avaient dorénavant "le droit" de fonctionner!
En effet, grâce à la découverte d'Emoto, il est maintenant clair "comme de l'eau de roche"que l'on peut donner des informations à l'eau!
Sa technique : on la fait geler et on photographie ses cristaux.Encore plus simple que la cristallisation sensible! Non seulement, ils traduisent le degré de pureté des différentes eaux de la planète, qu'elles soient du robinet, de pluie ou de rivières, mais montrent d'une façon très "parlante" que la musique l'influence également.
L'eau distillée d'un flacon placé entre des haut- parleurs laissera voir, une fois congelée,des cristaux très différents selon la musique à laquelle elle a été soumise.
Quelle beauté avec la grande musique! On comprend pourquoi Mozart, Bach ou Beethoven, entre autres, nous réjouissent.
C'est parce que notre eau corporelle réagit directement à ces harmonies.
La structure hexagonale symétrique et développée le montre, alors qu'après du "heavy metal", point d'hexagone! Une structure amorphe remplace ces véritables bijoux!
Emoto est allé encore plus loin, car il confirme que tout est énergie.
Einstein nous l'avait dit, Emoto nous le montre!
Les paroles, les mots, les sentiments et même les pensées, influencent l'eau.Pour ce faire, il colle des étiquettes avec des mots sur des flacons d'eau distilléeet constate leur effet sur les cristaux.
Comme avec la musique, un mot "négatif" entraîne une cristallisation dysharmonieuse,alors que "merci" ou "Amour", quelle que soit la langue, forment de magnifiques images!
Tout se voit, sans artifice, directement!
L'eau nous engage à regarder en nous- mêmes.Nous ne pouvons plus dorénavant, lancer ne serait-ce qu'une parole en l'air, sans savoir qu'elle ne restera pas sans conséquence, sur l'autre, comme sur nous!Emoto nous offre ici un livre de photos à voir et à faire connaître! Un livret des commentaires en français est disponible pour ceux qui ne lisent pas l'anglais du livre "Messages from Water".
Merci à Alternature pour cet article.
Nous avons consulté le site de l'auteur, voici ce que je vous propose de voir de ses travaux(le bouquin est magnifique, superbe ! A trouver chez son crémier préféré) :
Partie de gauche : on a écrit "Ange" sur le tube de verre.A droite, "Démon". Ces deux images parlent d'elles-mêmes !
Celle-ci a eu l'amour dirait-on
L'étiquette "Vous me rendez malade"
Mozart... Cette eau a "écouté" une de ses symphonies...source sur : http://www.bioeco.org/docu126
ce que l'amour peut vous apporter,
même avec des cristaux d'eau ,
vivons avec amour et nous en recevrons !
Avec les formes que prennent les cristaux d'eau ,
sous les vibrations d'amour,
on fabrique en joaillerie des bijoux extraordaires , l'homme n'a rien inventé !
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Ho’oponopono est un protocole quantique, un puissant moyen de dissoudre les données négatives qui polluent notre vie, pour ouvrir la porte à l’abondance universelle dans notre vie et aux énergies pures de guérison.
L'Ho'Oponopono est originaire d'Hawaïï. C'est une méthode ancestrale qui permet de se relier à l'Énergie d'Amour Universel pour transmuter les mémoires sombres en Lumière.
Elle est donc particulièrement utile lorsqu'une situation difficile est vécue.
Que ce soit dans une relation avec quelqu'un ou dans une situation qui nous fait nous sentir mal, en colère, dépassé, etc.
Elle a été très publicisée par le docteur Joe Vitale il y a quelques années.
Pour comprendre comment fonctionne l'Ho'Oponopono, il est essentiel de comprendre que nous sommes tous issus de la même source d'Énergie et donc tous reliés les uns aux autres, par cette même source.
Nous sommes donc tous responsables des maux et des souffrances qui sont vécues sur notre belle planète.
En guérissant en nous cette part d'ombre, nous nous guérissons donc nous-mêmes, mais nous guérissons aussi une part d'ombre chez les autres êtres vivants de la terre ainsi qu'une part de la planète.
Bonne écoute
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Le premier réflexe de la plupart des médecins, parents et malades, est de vouloir « faire tomber la fièvre » dès que celle-ci dépasse 38,5°C.
C’est une énorme bêtise dans le cas des infections virales (la grande majorité des cas !), et vous allez comprendre tout de suite pourquoi.
Les virus pénètrent dans le corps par la bouche ou par le nez, le plus souvent. Ils entrent dans une cellule et se reproduisent à l’intérieur jusqu’à ce que la cellule soit pleine comme un œuf, remplie de millions de virus.
Si vous regardez à ce moment-là la cellule au microscope électronique, vous avez l’impression qu’elle est remplie d’alvéoles d’abeilles : ce sont les virus, qui sont aussi serrés que des alvéoles dans un rayon de miel !
Entièrement colonisée, la cellule meurt, éclate, et tous les virus sortent et se dispersent. Chacun entre dans une cellule saine, et le cycle recommence.
La propagation du virus est donc très rapide.
Des millions ou des milliards de cellules peuvent être touchés en quelques heures.
Elles sont si nombreuses à mourir que vous ne tardez pas à souffrir de lésions dans les organes. Vous avez mal aux articulations, à la tête, aux muscles, au ventre, aux oreilles, ou ailleurs selon les cas.
Heureusement, notre corps ne reste pas sans réagir face à une invasion de virus.
Dès qu’un virus pénètre dans une cellule, celle-ci lâche des substances qui font gonfler les vaisseaux sanguins à proximité.
Le sang ralentit, s’accumule à l’endroit de l’infection, ce qui permet aux globules blancs qui sont dans le sang de traverser la paroi des vaisseaux sanguins et de rejoindre la cellule infectée.
Les globules blancs, aussi appelés leucocytes, sont en effet attirés par les substances émises par la cellule.
De votre côté, vous constatez une inflammation :
parce que le sang s’accumule à l’endroit de l’infection, cela devient rouge, chaud, et douloureux.
Mais c’est bon signe.
Cela veut dire qu’une « inflammation » est en train de se produire.
C’est un mécanisme qui ordonne au corps de se défendre.
La cellule infectée se retrouve entourée de millions de globules blancs.
Ils sont si nombreux qu’ils bloquent l’oxygénation.
Ne pouvant plus respirer, la cellule se met à fermenter et à produire du dioxyde de carbone et des acides lactiques.
Cela crée une acidité dans la cellule qui bloque la reproduction des virus.
De plus, la fermentation produit beaucoup de chaleur, ce qui tue les virus.
Bien entendu, la cellule meurt aussi.
Mais la propagation du virus est stoppée, ce qui est le plus important.
Quand la cellule meurt, les globules blancs meurent aussi et lâchent des substances qui augmentent la température du corps.
Cela provoque de la température et de la fièvre.
Cette température plus élevée du corps tue les autres virus présents ailleurs dans le corps.
La stratégie de réaction du corps est donc double : faire monter la température locale, au niveau de la cellule malade, et faire monter la température générale du corps, qui est la fièvre.
Ces deux réactions contribuent à stopper l’infection virale.
L’inflammation et la fièvre sont bonnes pour vous
L’inflammation, lorsqu’elle est passagère, et la fièvre, lorsqu’elle ne dépasse pas 40°C, sont des réactions très efficaces de l’organisme pour se protéger des virus. En fait, ce sont même des réactions indispensables : si notre corps ne génère pas d’inflammation, les virus nous tuent sans la moindre résistance.
Les hommes l’ont toujours su : autrefois, quand un malade avait une infection, on le mettait sous des édredons, on lui faisait boire beaucoup de tisane pour le faire transpirer et augmenter sa température.
Un virus aussi dangereux que celui de la poliomyélite, qui provoque des handicaps à vie, voit sa vitesse de reproduction diminuer de 99 % lorsque la température passe de 38,5°C à 39°C ! [1]
Il faut savoir qu’avant les années 60, tout le monde attrapait à un moment ou à un autre le virus de la poliomyélite. 90 à 95 % des personnes ne s’en apercevaient même pas, car le virus était éliminé par leurs défenses naturelles avant même d’avoir provoqué des symptômes de maladie. Une minorité tombait malade, mais la plupart faisaient alors une poussée de fièvre qui détruisait le virus selon le mécanisme décrit ci-dessus.
Toutefois, si par malheur quelqu’un leur donnait à ce moment-là un cachet d’aspirine pour « faire baisser la fièvre », c’était la catastrophe : le virus attaquait la moelle épinière, provoquant la paralysie des jambes.
C’est pourquoi donner un simple cachet d’aspirine ou de doliprane à une personne infectée par un virus peut avoir des conséquences désastreuses : en faisant baisser l’inflammation et la température, un énorme « coup de fouet » est donné au virus.
Votre organisme est dépouillé de ses protections naturelles, et n’a plus aucun moyen d’empêcher la prolifération du virus et la maladie.
A votre santé
Laly/Monyka
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