• Les Rayons spirituels du Cosmos sont en relation avec les centres d’énergie du corps physique, très nombreux, mais dont on ne révèle généralement que les principaux, situés dans l’alignement de la colonne vertébrale, parce qu’en les animant, on éveille tous les autres.

    En spiritualité, on se réfère souvent aux rayons cosmiques.

    Alors, il faudrait se demander ce qu’est un rayon.

    Dans le domaine contingent, celui-ci peut désigner un trait ou ligne formée par un centre lumineux ou par une source d’énergie, relié à une force électrique ou dynamique (puisque l’énergie magnétique, son contraire, circule en ondes, en volutes ou en cercle).

     

    En spiritualité, il s’agit d’une force qui porte une intention et qui répartit son effort en deux pouvoirs perceptibles, la lumière et le son.

    Il s’agit d’une force particulière ou d’un type d’énergie qui insiste sur la qualité qu’elle démontre, non sur l’aspect formel qu’elle engendre.

    Pour compléter cette définition, il convient d’étudier quelques expressions qui reviennent plus ou moins souvent dans les enseignements ou les communications spirituelles.

    Ainsi, le Rayon arc-en-ciel réfère à une énergie aux multiples couleurs et aux possibilités variées.

     

     

    Le Rayon de Diamant désigne le Treizième Rayon, le Rayon voilé, qui fait suite aux Douze Dispensations d’un yuga ou d’un cycle de temps (d’environ 26 000 ans) et qui parvient à la Terre par le Pôle nord.

     

    Le rayon «manasique» évoque le «corps mental», véhicule de la pensée concrète, formé par les matériaux subtils des sous-plans du troisième plan de la Nature, associé à l’éveil provoqué par les Seigneurs de la Flamme.

     

    Le Rayon de Platine désigne un faisceau énergétique tout puissant de résonance multidimensionnelle, essentiel à l’Évolution ou à l’Ascension.

     

    Il contient le code de la Loi universelle (l’Axiome cosmique ou la Vérité universelle) qui s’étend à chaque aspect du Cosmos. Il s’agit d’un rayon d’équilibre et d’unité qui porte l’aspect nourricier de la fréquence féminine, mais qui représente l’équilibre optimal des deux aspects de la polarité. 

     

    Il unifie la conscience et il engendre une grande synchronisation du mental au sein de la dualité.

    Le Rayon d’ijolite est relié à la Maison de l’Esprit, dans le Sagittaire, qui confère le Pouvoir du Verbe et la Vérité, les aidant à se manifester. Autrement dit, il aide à produire la «Christification» ou l’Ascension de la Conscience.

     

    Le Rayon vert, associé à l’émeraude, capable de percer tous les secrets, associé à la Force de renouveau printanier. Il correspond à l’activation par le Soleil des énergies de rénovation qui coulent des étoiles vers la Terre par l’axe équinoxial, le cordon ombilical creux qui permet un transfert d’énergie de haut en bas ou de bas en haut.

     

    Au printemps, ce rayon ranime la vie sur la Terre, provoquant la croissance et la floraison, tandis que, à l’automne, à l’inverse, il ralentit les processus vitaux, favorisant la communication avec la Source de l’énergie vitale.

     

    Dans la «Kabbale», le Rayon vert de la Nature est associé à Netzah (Vénus) et donc au patriarche Moïse.

    En général, lorsqu’on parle des Rayons divins, on évoque celui de la Culture, celui de la Politique, celui de la Spiritualité, celui de la Science, celui de la Philosophie, celui de la Psychologie et celui de la Matière (Finance). Selon qu’on les divise par douze ou sept.

    Les rayons solaires se divisent en rayons directs (ceux qui contribuent à l’illumination); les rayons réfléchis par les planètes (conscience et développement éthique, excluant Neptune que certains déclarent ne pas faire partie du système solaire proprement dit) et les rayons réfléchis par la Lune (croissance physique)

     

    On présente comme suit les Douze Rayons spirituels :

    • 1. Rayon rouge de l’Amour universel, dédié à l’Activité divine et du dynamisme, associé au rubis ou à une pierre écarlate (pondéré par le saphir)

     

    • 2. Rayon de l’Unité universelle ou de la Vérité divine, associé à l’illumination et à la sagesse (gemme bleu clair ou topaze dorée)

     

    • 3. Rayon de jaune de la Beauté éternelle ou de l’Intelligence divine, associé à la contemplation, au Verbe, à l’intellect et à l’abstrait

     

    • 4. Rayon vert de l’Abondance éternelle, associé à l’harmonie, à l’équilibre, à la pureté, à l’espoir, à la résurrection (pierres verte, rose ou blanche de cristal, notamment le diamant)

     

    • 5. Rayon orangé de l’Harmonie éternelle et de la Consécration, associé à la science, à la guérison et à la logique (émeraude)

     

    • 6. Rayon indigo de l’Équilibre, associé au service et à la dévotion, à la miséricorde, à la grâce, à l’idéalisme, au sang du Christ (saphir sombre et rubis)

     

    • 7. Rayon violet de la Fraternité, associé à la transmutation et de la rédemption, à la purification, à la liberté, à l’Alchimie divine, au pardon (améthyste)

     

    • 8. Rayon turquoise de la Compassion, associé à la clarté (aigue marine)

     

    • 9. Rayon magenta de la Charité (turquoise)

     

    • 10. Rayon blanc nacré nuancé d’or de la Foi, associé à la Richesse du Créateur, à l’ancrage du corps de Lumière, à la paix et à la joie éternelles

     

    • 11. Rayon pêche irisé ou rose doré de la Justice éternelle, associé à la passerelle arc-en-ciel, en lien avec le Je Suis

     

    • 12. Rayon doré opalescent de la Guérison ou du Salut universels, combinant l’ensemble des rayons dont ils sont le reflet (opale dorée).

    Les huit rayons dévoilent le Quanta, la Porte mystérieuse du Cosmos, la Roue d’Énergie de la Création.

    En fait, le Quanta désigne le Lotus divin qui désigne le Tout. C’est le symbole de l’Être total qui révèle les modalités de l’Émanation et de la Réintégration dans la Source unique.

    Il figure le déploiement de l’Éther par la manifestation des quatre éléments dans les quatre directions. Il rappelle l’Octave de la Manifestation.

    Empruntant aux Tradition égyptienne et babylonienne, il donne les énergies de Râ (Est), Thot (Ouest), Isis (Nord), Osiris (Sud), Zénith (Supérieur), Nadir (Abîme), Bast (Nord-ouest), Ishtar (Sud-est), Nergal (Nord-est) et Mardouk (Sud-ouest).

    Empruntant à la Tradition hindoue, il donne les énergies de Varuna (Est), Soma(Nord-est), Kuvera ou Kubera (Nord), Vayou (Nord-ouest), Indra (Ouest), Surya (Sud-ouest), Yama (Sud) et Agni (Sud-est).

    En fait, le Quanta universel exprime le Nombre huit (8) avec toutes sa valeur symbolique et il révèle les sept planètes sacrées qui tournent autour du Soleil.

    Les Sept Rayons spirituels se présentent comme suit :

     
    • 1. La Puissance ou l’Énergie de la Volonté (le Grand Destructeur, Mars, conquiert la Mort et confère l’Initiation

     

    • 2. L’Amour-Sagesse qui assure l’unification selon la Pensée divine et qui donne la vision mystique

     

    • 3. L’Intelligence active, associé à l’Évolution, l’entreprise qui vise à rendre la matière soumise et adaptable à l’Idée divine primordiale dans une évolution lente et qui favorise l’éducation et le développement de l’expérience

     

    • 4. L’Harmonie ou la Volonté de détruire toute limitation, ce qui explique le conflit apparent des opposés, mais qui unit au Principe suprême en ouvrant à l’intuition

     

    • 5. La Science concrète ou l’Énergie de la connaissance, associés à l’intelligence et à la volonté d’action et qui donne l’Initiation (par la mort ou la transmutation);

     

    • 6. La Dévotion ou l’Énergie d’aspiration vers l’Idéal, associées à la causalité, à l’incarnation de l’Idée de Dieu et à la réalisation du But de la Création, conférant l’idéalisme, le stimulant et la cause de l’activité humaine

     

    • 7. La Synthèse rituelle ou l’Énergie du Cérémonial (de l’Ordre cérémoniel), le Principe de l’ordre qui répond à la nécessité, pour Dieu, de s’exprimer de façon ordonnée et rythmique, favorisant l’organisation et l’expression. Dans le cas de ce dernier Rayon, il s’agit de celui de la Magie blanche au service de l’unité, qui dissout les motivations égoïstes.

    Parfois, dans le registre de la guérison, on présente plutôt les Sept Rayons spirituels comme suit…

    • Le premier rayon bleu de la volonté divine est utilisé pour tout ce qui touche l’action, la mise en route d’une activité, trouver un travail, la communication, la confiance, l’endurance, la force, la persévérance, augmenter quelque chose, dynamiser et lutter contre la fatigue. Idéal pour le sport.

     

    • Le deuxième rayon jaune de la sagesse sert pour tout ce qui touche les pensées, l’intellect, la réflexion, le savoir, les responsabilités, les études, lutter contre le manque de discernement, la folie, la bêtise…

     

    • Le troisième rayon rose de l’amour inconditionnel sert pour tout ce qui touche les manques d’amour, de tendresse, de compassion, de relations, d’aide, de sympathie, de douceur, de respect de soi et des autres… pour donner un baume à l’âme.

     

    • Le quatrième rayon blanc de la pureté sert pour lutter contre tout ce qui touche à la saleté, aux mensonges, à la trahison, l’impureté, les vols et escroqueries… Il sert à développer la justesse, la vérité, l’équilibre, l’exactitude, la clarté des choses, l’équité, le respect, la création pure, l’espoir et la joie.

     

    • Le cinquième rayon vert de la circulation énergétique et de la résurrection de tout ce qui est mort sert pour développer l’abondance, la richesse et la santé, la connaissance scientifique, la compréhension de la matière.

     

    • Le sixième rayon rubis doré de la paix sert pour l’union, la fraternité, l’entente entre les humains, les services et les vocations, la famille, les voyages, le monde, et calmer le racisme, la colère, les actions violentes, les guerres…

     

    • Le septième rayon violet de la liberté aide à couper toute dépendance, tout lien négatif. Il sert à transmuter tout négatif en positif ou neutre et agit comme une gomme, un savon cosmique, un laser. C’est le rayon qui aide à s’élever dignement.

     

    D’après un texte de Bertrand Duhaime

     


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  • Les conséquences psychologiques pour les enfants obligés de porter le masque à l’école sont graves.

    Dans la lutte contre les maladies physiologiques, nous nous devons de ne pas souffrir de maladies mentales et sociales. La santé est une totalité psychophysique et un tout, et non une absence unidimensionnelle de maladie physique.

     

     

    La lutte contre le coronavirus provoque un accroissement d’étranges formes de propagande officielle anti-pandémie, qui mettent constamment l’accent sur la « distanciation sociale », et afin de ne pas infecter nos proches, les autorités recommandent de nous en éloigner le plus possible.

    Les élèves sont tenus d’aller à l’école avec un masque sur le visage et les éducateurs doivent également être masqués. Toutefois, les conséquences psychologiques associées au port du masque ne sont pas négligeables. Surtout pour les enfants et les jeunes.

    Le risque c’est qu’ils arrêtent d’essayer de communiquer tout court !

    Le masque change aussi la voix ce qui perturbe l’enfant. Les enfants ont absolument besoin de lire les expressions sur le visage de l’autre, et le port du masque l’empêche de voir et d’analyser ces mimiques.

    Il est impossible de ne pas considérer que le port du masque représente un danger dans la représentation à soi et aux autres que beaucoup d’enfants n’ont pas encore affirmé même parvenus à l’adolescence. Et bien que ce ne soit pas le sujet de cet article, que dire du danger pour la santé physiologique que représente le port du masque durant plusieurs heures ?

    Dépersonnalisation

    Dans une interview accordée à Pečat [magazine d’informations serbe] le 14 août 2020, la psychologue clinique Sofija Trivunac — qui a exercé en Occident pendant quatre décennies après avoir obtenu son doctorat aux États-Unis — souligne la gravité de ces conséquences.

    Tout en insistant sur le faible bénéfice des masques dans la protection contre les maladies — sans compter les masques médicaux plus efficients qui ne sont généralement pas accessibles aux gens ordinaires —, elle déclare :

    Il s’agit d’un acte de soumission très concret qui enseigne aux enfants l’obéissance, mais aussi que la communication et la possibilité de voir un visage ne sont plus la norme. Quand un bébé naît au monde et jusqu’à ce qu’il parle, il a besoin, comme les primates, de cette image fondamentale du visage de l’autre — un sourire et des yeux — et voilà qu’ils annoncent déjà le port de lunettes.

    Ainsi, nos yeux et notre bouche qui constituent les deux plus grands canaux de communication dont dispose l’être humain dans ses rapports aux autres êtres humains et aux animaux sont « abolis ». Nous sommes brusquement arrivés à la situation suivante : celui qui ne porte pas de masque est catalogué comme un transmetteur d’infection ou comme un tyran, une personne qui résiste.

    Je ne veux pas que la pathologie des personnes compulsives-obsessionnelles devienne dominante ni qu’elle se banalise.

    Bien sûr, il faut lutter contre la pandémie. Mais cette lutte ne doit pas négliger les conséquences psychologiques de l’état d’urgence, souligne Sofija Trivunac :

    Si nous considérons le corps humain du point de vue d’un réceptacle surchargé de peurs, et donc bloqué pendant une longue période, nous constatons que son immunité est sérieusement affaiblie et qu’il n’est pas capable de « digérer » toutes ces peurs d’un point de vue énergétique.

    L’un des grands facteurs qui génèrent la peur est l’incertitude à laquelle nous sommes également exposés pendant une longue période, ainsi que tout ce qui nous conduit dans un premier temps à des troubles mentaux, puis à des maladies physiques. Car lorsque le cerveau qui contrôle notre psyché et notre corps tombe malade, nos autres organes tombent progressivement malades et les conséquences sont le plus souvent pénibles et extrêmement dangereuses.

    Le port du masque est un moyen de plonger les élèves et les éducateurs dans un monde tordu, celui d’Alice lorsqu’elle passe de l’autre côté du miroir, un monde dans lequel il n’existe aucune réelle éducation ni la plus élémentaire socialisation.

    Mais le plus grand dommage [notamment chez les enfants] est porté à l’essence même des relations interpersonnelles : l’amour.

    Le secret de l’amour comme fondement de l’humanité

    Dans son livre « Les Éloges du sens », l’écrivain Dusko Jevtovic écrit :

    Dans une maternité, deux jumelles, nées prématurément, ont été placées dans des incubateurs séparés, comme l’exige la réglementation. La vie de l’une d’entre elles était en danger. L’infirmière de service les a mis dans la même couveuse, et lorsqu’elle leur a rendu visite un peu plus tard, elle a réalisé qu’un miracle s’était produit : elle les a trouvés enlacées ! La sœur jumelle la plus vigoureuse étreignait la plus fragile, dont l’état de santé s’est à partir de ce moment soudainement amélioré !

    Comme si elle avait alors acquis la volonté de vivre, ce qui lui manquait, la plus fragile des sœurs se mit à respirer de façon régulière, son cœur battant au rythme du cœur de sa jumelle dont l’amour l’avait fortifiée. Des appareils de précision ont tout enregistré. Un de mes collègues a également imprimé un article qui se terminait par la photo d’une étreinte salvatrice.

    Lorsque Kiri, [qui signifie] « c’était écrit », a senti qu’elle se trouvait près de sa sœur et que celle-ci luttait pour sa vie, elle l’a serrée dans ses bras pour l’aider dans son combat. À partir de ce moment-là, Brijela a commencé à respirer normalement, son rythme cardiaque est revenu à la normale et son état général a commencé à se stabiliser. Les médecins ont décidé de laisser les bébés ensemble, car lorsqu’elles étaient ensemble, elles se maintenaient mutuellement en vie.

    C’est, pourrait-on dire, la preuve scientifique des propriétés curatives de l’amour. Parce que le cœur est plus sensible que n’importe quel appareil. Le sentiment d’amour protège mieux que le verre de protection et pénètre plus profondément que les câbles et les tubes. Sous l’impulsion de l’éternité, le sentiment d’amour se met en marche et, avec la chaleur de l’étreinte, il libère l’espoir de l’armure que constitue l’indifférence glacée, synonyme de mort.

    Ainsi, dans la lutte contre les maladies physiologiques, nous nous devons de ne pas souffrir de maladies mentales et sociales. La santé est une totalité psychophysique et un tout, et non une absence unidimensionnelle de maladie physique. Nous devons en prendre soin tout particulièrement lorsqu’il s’agit de nos enfants. Ils sont l’avenir, n’est-ce pas ?

    Ce merveilleux témoignage plein d’espoir pour le genre humain ne constitue pas une singularité. En 2019, deux jumeaux en Angleterre ont partagé le même amour inconditionnel, quand le plus vigoureux des deux a étreint le plus fragile… pour le sauver. Et puis une autre histoire identique en 1995.

    Par ailleurs, France Soir n’a pas mâché ses mots dans son article du 21 août quant à cette folie furieuse de faire porter des masques aux enfants pendant plusieurs heures d’affilée, 4 à 5 jours par semaine :

    Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance !

    Veut-on vraiment casser nos enfants tant sur le plan scolaire que psychique ? L’incroyable prise de position exposée à nouveau dans Libération(1) nous a fait bondir, voire désespérer. Qu’est-ce que ce pays qui sacrifierait ses enfants au nom d’intérêts financiers et de querelles politiques et certainement pas médicales ?

    Nous pouvons admettre qu’en mars, les autorités craignaient que les petits transmettent le covid comme la grippe, mais cinq mois plus tard, l’ignorance n’est plus acceptable, ni des politiques, ni des médecins, surtout lorsqu’ils s’adressent au public.

    Les enfants ne sont pas à risque (les enfants ou adolescents de moins de 15 ans représentent moins de 1% des personnes contaminées(2) et moins de 0,01% des morts(3) ) et ils ne transmettent pas le virus ni aux autres enfants, ni aux adultes.(4)

    Alors pourquoi cette rechute de folie par rapport à l’école ? Faire peur à tout prix pour imposer in fine un vaccin qui n’existe pas, mais fait déjà gagner des milliards en Bourse sans hésiter à sacrifier les petits et les jeunes dont le risque de covid grave est extrêmement faible ?

    Oui Mr le Ministre, la rentrée doit être complètement normale ! Résistez, vous y gagnerez en crédibilité.

    Une vingtaine de médecins menée par Karine Lacombe, (Mme Gilead et remdesivir) ose appeler le ministre de l’Éducation nationale à renoncer à la rentrée quasi normale qu’il avait prévue.

    Les enfants, selon ces vingt médecins dont aucun pédiatre (sauf un radiologue pédiatre ce qui est différent), ni aucun pédopsychiatre, ni psychologue (ils ont préféré un vétérinaire et un légiste) n’hésitent pas à pousser le gouvernement à entrer à nouveau dans ce cercle infernal de la privation de scolarité normale et à conseiller des mesures aussi aberrantes pour un enfant que le port du masque et l’enseignement à distance.

    Pourtant s’ils avaient pris le temps de lire les témoignages des psychiatres et psychologues, mais aussi de tous ceux qui s’occupent d’enfants, adolescents et jeunes adultes, y compris les familles, ils auraient pu approcher la gravité des séquelles de ces cinq mois d’hystérie collective et de mesures délirantes prises sans évaluation préalable de leur gravité à court moyen et long terme. N’en rajoutons pas.

    Sacrifier nos enfants pour une mesure d’intérêt non démontré

    Nos ministres de la santé ont interdit la prescription de chloroquine par les médecins en prétextant qu’il n’existait pas d’études randomisées de la chloroquine contre le Covid19.

    Mais pour les masques pas de problème : le gouvernement a affirmé pendant deux mois qu’ils étaient inutiles (sans études le démontrant). Maintenant il prétend qu’ils sont indispensables (sans plus d’études randomisées) et il nous oblige à vivre masqués. Tous les médias reprennent en chœur « Sans masque pas de salut. Les cas augmentent. Vous serez confinés de nouveau si vous n’êtes pas obéissants ».

    Et les croisés du masque veulent maltraiter les enfants par une mesure sans aucune justification scientifique.

    Rien ne prouve que les masques soient utiles contre une épidémie de Covid19

    Libération publie une tribune orchestrée par la désormais célèbre K Lacombe(5), l’apôtre du remdesivir, le dr Jérôme Marty, président de l’UFML, qui en son temps s’était bien battu contre la loi de santé Touraine Véran et pour la liberté et l’indépendance des médecins (que vient-il faire dans cette galère ?), et les créateurs du collectif Stop-Postillons, réclamant partout et toujours le port du masque en exhibant de « nombreuses études » qui démontreraient que le masque pourrait prévenir la transmission du covid19.

    Oubliant au passage que le covid19 est curable si on accepte de le traiter, comme plus des trois quarts des médecins au monde.

    Pourquoi ce déni et cette obsession du masque qui ne fait que « cacher ce traitement efficace que je ne saurais voir » ?

    Des articles non convaincants éloignés de la pratique clinique

    Nous avons personnellement relu tous les articles qu’ils citent à l’appui de leur obsession et aucun d’entre eux n’a étudié l’effet du masque sur la transmission du Covid19 dans la vraie vie.

    L’article de Yu I.T date de 2004, bien avant le covid19 qu’il n’a donc pas pu étudier. Celui de Dyani Lewis parle de « preuve » mais n’en apporte aucune et se contente de formuler des hypothèses sur des éléments biologiques et non médicaux.

    Celui de Lidia Morawska relate des expériences de laboratoire qui ignorent le contact du virus avec l’homme. Celui de John A. Lednicky étudie l’air de la chambre d’un patient hospitalisé et détecte des traces de virus, ce qui ne prouve en rien que ces résidus puissent être contaminants, ni qu’un masque pourrait servir de protection.

    Celui de Jayaweera conclue que : « la transmission nosocomiale par des aérosols chargés de virus SARS-CoV-2 en suspension dans les établissements de santé peut être plausible. ». Il émet une hypothèse au conditionnel et en précisant qu’il ne la formule que pour des espaces médicaux (pas pour les entreprises ou les écoles).

    Et c’est sur ces pseudo-preuves qu’ils veulent nous bâillonner partout et toujours, pour une maladie en voie disparition en Europe(6) !

    Que leur arrivent-ils ? Tout au moins à ceux que l’on a connu valeureux soldats sincères contre la prise de pouvoir par l’état de la santé par l’article 1 de la loi santé, comme les membres de l’UFML ?

    La fréquentation des plateaux télé est-elle si toxique qu’elle fait perdre le bon sens aux meilleurs défenseurs de la liberté et de l’indépendance médicale ?

    L’article très fouillé mérite de s’y attarder, nous conseillons à nos lecteurs de lire la suite.

    Source : https://fr.sott.net/

     


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  • La réincarnation, est une croyance selon laquelle un certain principe immatériel et individuel (« âme », « substance vitale », « conscience individuelle », « énergie », voire « esprit ») accomplit des passages de vies successives dans différents corps (humains, animaux ou végétaux).

    Selon cette croyance, à la mort du corps physique, l'âme quitte ce dernier pour habiter, après une nouvelle naissance, un autre corps.

    Elle a été assimilée tour à tour à la transmigration des âmes, aux concepts de métempsycose, palingénésie, et à l'Éternel retour.

    Belle vision cool

     


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  • Et si la maladie n'était pas un hasard? Pierre-Jean Thomas Lamotte nous aide à en comprendre le sens caché... Ecouter ses émotions, comprendre le sens caché de nos maladies et l’importance des symboles. Son livre “Et si la maladie n’était pas un hasard":

    Lien:  https://goo.gl/Ob8gUr

    Ecouter ses émotions pour agir plus en conscience, comprendre le sens caché de nos maladies, se soigner ou guérir, tels ont été les sujets abordés par le docteur Catherine Aimelet-Périssol et le docteur Pierre-Jean Thomas Lamotte lors des rencontres de l'IPSN sur le thème : "Logique émotionnelle et symbolique des maladies".

     

    A votre santé !

     


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  • La réincarnation, est une croyance selon laquelle un certain principe immatériel et individuel (« âme », « substance vitale », « conscience individuelle », « énergie », voire « esprit ») accomplit des passages de vies successives dans différents corps (humains, animaux ou végétaux).

    Selon cette croyance, à la mort du corps physique, l'âme quitte ce dernier pour habiter, après une nouvelle naissance, un autre corps.

    Elle a été assimilée tour à tour à la transmigration des âmes, aux concepts de métempsycose, palingénésie, et à l'Éternel retour.
    Que l'on y croit ou non, interrogez vous sur votre existence ?

     

     


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