•  

    Le profil d'effets indésirables des neuroleptiques est principalement constitué de :

    effets sédatifs : particulièrement intenses pour certaines phénothiazines telles que la chlorpromazine ou la lévomépromazine ; moins marqués pour d'autres phénothiazines telles que la fluphénazine, la perphénazine, les butyrophénones, les benzamides ;

    effets extrapyramidaux : dystonies et dyskinésies, syndromes parkinsoniens, akathisies, dyskinésies tardives ; rares syndromes malins des neuroleptiques ;

    atteintes musculaires, rhabdomyolyses ;

    hypotensions artérielles (par effet alphabloquant) : à l'origine de syncopes lors d'une utilisation par voie injectable chez des patients agités ;

    troubles de la régulation thermique, avec hypothermie lors d'exposition au froid, et hyperthermie en cas d'exposition à la chaleur ;

    convulsions ;

    symptômes atropiniques d'intensité variable selon les neuroleptiques, dont des constipations, iléus et perforations digestives ;

    hyperprolactinémies, gynécomasties et galactorrhées, troubles menstruels, une augmentations de la fréquence des cancers du sein a été envisagée :

    troubles sexuels dont des priapismes ;

    chez les enfants : troubles de la croissance staturopondérale, troubles pubertaires ;

    allongements de l'intervalle QT  de l'électrocardiogramme et troubles du rythme cardiaque ventriculaire graves, dont des torsades de pointes ;

    myocardites, liées à la clozapine notamment ;

    troubles thromboemboliques veineux ;

    idées et comportements suicidaires ;

    apathies, sensations vertigineuses ;

    prises de poids, hyperlipidémies,  hyperglycémies et diabètes, particulièrement marqués pour les neuroleptiques dits “atypiques” tels l'olanzapine, l'amisulpride, la quétiapine, etc. ;

    incontinences urinaires ;

    troubles de la déglutition exposant à des fausses routes, des pneumonies, des pertes de poids ;

    agranulocytoses, relativement fréquentes avec la clozapine, qui motivent une surveillance hématologique particulière ;

    photosensibilisations et pigmentations cutanées pour certaines phénothiazines ;

    cataractes et hypothyroïdies pour la quétiapine.

    Les intoxications aiguës semblent plus graves avec la quétiapine qu'avec d'autres neuroleptiques.

    Des essais et des études épidémiologiques ont montré que la mortalité de patients âgés déments était augmentée sous neuroleptiques ; un essai a montré une diminution de mortalité après arrêt du neuroleptique.

    Chez les personnes âgées atteintes de démence, le risque d'accidents vasculaires cérébraux est augmenté.

     

    Profil d'effets indésirables des IRS

    Le profil d'effets indésirables des antidépresseurs inhibiteurs dits sélectifs de la recapture de la sérotonine (IRS) (paroxétine, etc.) est homogène et comporte surtout :

    troubles digestifs, notamment des diarrhées, des nausées, des hémorragies digestives ;

    troubles neuropsychiques : troubles du sommeil, anxiétés particulièrement en début de traitement, tremblements, sensations vertigineuses, céphalées, anorexies, mouvements anormaux, agitations, idées suicidaires, suicides, hostilités et violences, réactions maniaques, convulsions, etc. ;

    troubles végétatifs rares à doses usuelles (hypo- ou hypertensions artérielles, hyperthermies, frissons, sueurs, tachycardies).

    Les troubles digestifs, neuropsychiques et végétatifs entrent dans le cadre du syndrome sérotoninergique ;

    troubles sexuels ;

    troubles mictionnels ;

    hyponatrémies ;

    saignements, notamment digestifs ;

    troubles extrapyramidaux, dont des akathisies, bruxisme ;

    augmentations de la pression intraoculaire ;

    syndromes de sevrage à l'arrêt du traitement ;

    des effets indésirables atropiniques faibles, variables selon l'IRS.

    Des troubles cardiaques dont des allongements de l'intervalle QT de l'électrocardiogramme sont observés lors de surdose de citalopram.

     

    Chez les enfants, le risque suicidaire lié aux antidépresseurs IRS est plus marqué que chez les adultes.

     

    D'autre part, les IRS entraînent un retard staturopondéral chez l'animal.

    On ne peut exclure des perturbations endocriniennes à partir d'études chez des animaux où l'on a observé notamment un retard du développement sexuel aussi bien chez les mâles que chez les femelles, une diminution de la fécondité.

    Pendant la grossesse, les IRS augmentent le risque de malformations cardiaques en cas d'exposition pendant le premier trimestre.

    Une exposition en fin de grossesse, expose le nouveau-né à des hypertensions artérielles pulmonaires persistantes, à des symptômes neurologiques liés à une accumulation de l'IRS ou à un syndrome de sevrage et à des hyponatrémies.

     

    Profil d'effets indésirables de la venlafaxine

     

    Le profil d'effets indésirables de la venlafaxine est surtout constitué de :

    effets indésirables des antidépresseurs IRS, auxquels s'ajoutent :

    effets indésirables cardiovasculaires, en particulier augmentations de la pression artérielle, tachycardies, allongements de l'intervalle QT, troubles du rythme.

    Sa surdose a des conséquences cliniques graves, mortelles parfois.

     

    Profil d'effets indésirables de la miansérine et de la mirtazapine

    Le profil d'effets indésirables de la miansérine et de la mirtazapine est principalement constitué de :

    somnolences ;

    prises de poids ;

    arthralgies ;

    convulsions ;

    rares agranulocytoses ;

    fibrillations auriculaires ;

    rares atteintes hépatiques.

    La miansérine et la mirtazapine ont peu ou pas d'effet atropinique.

     

    Profil d'effets indésirables des benzodiazépines et apparentés

    Le profil d'effets indésirables des benzodiazépines est surtout constitué de :

    somnolences, baisses de la capacité à la conduite de véhicules, troubles de la concentration et de la mémoire ;

    confusions, ataxies et chutes, surtout chez les patients âgés ;

    sensations vertigineuses, dysarthries, tremblements, dépressions ;

    dépressions respiratoires, faiblesses musculaires avec divers symptômes dont des troubles de la motilité oculaire, troubles urinaires ;

    effets paradoxaux avec désinhibition, augmentations de l'hostilité et de l'agressivité, comportements délictueux, conduites automatiques et amnésies ;

    diminutions de l'efficacité thérapeutique (alias tolérance) qui s'installent en 2 à 4 semaines d'usage quotidien ;

    dépendances et syndromes de sevrage : l'arrêt brutal entraîne insomnies, anxiétés, tremblements, perceptions anormales, confusions, convulsions. Ces syndromes sont plus fréquents avec les benzodiazépines à demi-vie courte ;

    usages toxicomaniaques par voie intraveineuse à la recherche d'effets euphorisants.

    Une surdose entraîne coma, hypotension artérielle et dépression respiratoire. Les décès sont rares en l'absence de surdose de substance associée.

     

    Profil d'effets indésirables du lithium

    Le profil d'effets indésirables du lithium est principalement constitué de :

    troubles digestifs : nausées, diarrhées, anorexies, dysgueusies ;

     

    troubles neurologiques et psychiques : tremblements fins des extrémités et de la mâchoire, sensations vertigineuses, faiblesses musculaires et sensations étranges, convulsions, léthargies, ataxies, troubles de la coordination, acouphènes, visions troubles, hyperexcitabilités musculaires, mouvements choréoathétosiques, dysarthries, confusions ;

    symptômes sérotoninergiques ;

     

    prises de poids et œdèmes ;

    hypercalcémies, hypermagnésémies ;

    hyperleucocytoses ;

    aggravations de troubles cutanés tels que acné, psoriasis, éruption ;

    hypothyroïdies, ou plus rarement hyperthyroïdies, hyperparathyroïdies ;

    soifs, polyuries, polydipsies, diabètes insipides, diminution progressive de la capacité de concentrer les urines notamment chez des patients ayant des antécédents d'intoxication au lithium, néphropathies et insuffisances rénales rares chez les patients sans antécédents d'intoxication au lithium ;

     

    troubles de la repolarisation, troubles de la conduction, bradycardie.

    La plupart des effets indésirables du lithium sont dose-dépendants et sont fréquents lorsque la lithémie dépasse 1,5 mEq/l. Mais ils apparaissent parfois pour des concentrations plasmatiques moins élevées.

     

    En cas de surdose, avec lithémie supérieure à 2 mEq/l, apparaissent : syndromes cérébelleux, hyperréflexies, hyperextensions des membres, syncopes, psychoses toxiques, convulsions, polyuries, insuffisances rénales, troubles électrolytiques, déshydratations, insuffisances circulatoires, comas et décès.

    Le lithium est tératogène. L'effet malformatif touche essentiellement le cœur et les gros vaisseaux.

     

    Profil d'effets indésirables des anticholinestérasiques

    Le profil d'effets indésirables des anticholinestérasiques (donépézil,  galantamine, rivastigmine) est principalement constitué de :

    troubles digestifs : nausées, vomissements, anorexies, diarrhées, douleurs abdominales, ulcères gastroduodénaux. Les vomissements parfois graves sont majorés en l'absence d'adaptation progressive des doses ;

    troubles neurologiques : céphalées, somnolences, insomnies, confusions, et plus rarement symptômes extrapyramidaux et convulsions ;

    troubles psychiques : dépressions, hallucinations, agitations, comportements agressifs ;

    troubles de la thermorégulation et déshydratation par hypersudation liés à l'effet cholinergique, particulièrement en situation de vague de chaleur ou de surdose ;

    incontinences urinaires ;

    troubles cardiaques : bradycardies, malaises et syncopes, troubles de la conduction.

    Une augmentation de la mortalité est apparue lors d'essais cliniques ayant évalué la galantamine versus placebo chez des patients âgés ayant une démence.

    Les causes de décès ont souvent été des accidents vasculaires cérébraux.

    Des décès plus fréquents ont aussi été observés dans un essai au long cours ayant évalué le donépézil versus placebo.

      


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  • Les huiles essentielles sont les substances les plus concentrées que l’homme

    a su tirer de la nature. Ce sont des assemblages complexes de composantes biochimiques

    réalisés par l’action du soleil sur certains végétaux.

     

    On aurait tort de croire qu’elles sont inoffensives parce que naturelles.

     

    Nous parlerons d’huile essentielle obtenue par distillation à la vapeur d’eau sous basse

    pression, de végétaux qualifiés biologiques ou garantis sans pesticide;

    Une exception : les agrumes dont l’huile essentielle est obtenue par expression;

     

    Nous souhaitons que vos premières expériences avec les huiles essentielles

    soient agréables et porteuses de bien-être et d’harmonie.

     

    Assurez-vous de bien connaître la puissance de ces substances.

    Peu d’huiles essentielles peuvent être utilisées pures sur la peau ou dans un bain;

    pratiquez les dilutions recommandées.

     

    Aucune huile essentielle pure pour les enfants.

     

    Les dilutions recommandées le sont pour des adultes seulement.

    Au besoin, consultez un aromathérapeute.

     

    Pour éviter l’effet de plateau propre à beaucoup de substances naturelles,

    limitez l’usage d’une huile essentielle à 21 jours consécutifs; faites une

    pause de 7 jours et reprenez ou alternez avec deux ou plusieurs huiles essentielles.

     

    Gardez les huiles essentielles hors de la portée des enfants.

    Évitez tout contact avec les yeux.

    Évitez d’ingérer si ce n’est pas spécifié.

    En cas d’incident, utilisez de l’huile végétale grasse en premiers soins.

     

    Propriétés des huiles essentielles.

    Les propriétés offertes par les huiles essentielles sont nombreuses :

    • Analgésiques, antalgiques : Camomille, Pin, Lavande, Menthe.
    • Tonifiantes : Menthe, Poivre noir, Romarin, Bois de santal, Sauge.
    • calmantes : Camomille, Myrte, Orange.
    • Anti-inflammatoires : Citron, Encens, Géranium.
    • Régulatrices de l'organisme : Camomille, Lavande.
    • cicatrisantes : Eucalyptus, Lavande, Hysope, Romarin.


    LES GRANDES PROPRIETES DES HUILES ESSENTIELLES:

     

    1 - INTRODUCTION :

    • Des huiles qui n'en sont pas :


    Il est bon de savoir que les Huiles Essentielles ne sont pas des huiles au sens où on
    l'entend généralement.

    Elles ne contiennent pas de corps gras comme les huiles
    végétales obtenues avec des pressoirs (huile de tournesol, de maïs, d'amande
    douce, etc.).

    Et contrairement à ces huiles végétales, elles ne rancissent pas. En
    revanche, les Huiles Essentielles sont volatiles et s'évaporent donc rapidement à l'air
    libre.

    • Les Huiles Essentielles ne sont pas des suppléments alimentaires :


    Contrairement aux huiles végétales, qui fournissent nombre d'éléments essentiels
    (vitamines, minéraux, etc.) à votre alimentation quotidienne, les Huiles Essentielles
    n'en contiennent pas.
    Ceux qui présentent les Huiles Essentielles comme des suppléments alimentaires
    dans leur publicité, font donc de la fausse représentation.
    A leur décharge, il faut dire que dans certains pays comme les Etats-Unis le statut de
    "supplément alimentaire" permet de les faire tolérer sur le marché.

    C'est le cas par exemple des acides aminés, qui sont en fait des substances
    puissantes, agissant comme des médicaments.

    Comme la recherche scientifique est
    encore dans le vague en ce qui concerne les Huiles Essentielles, les autorités
    interdisent que les fabricants spécifient leurs propriétés thérapeutiques.

    Comme vous pourrez le constater les différentes Huiles Essentielles peuvent agir
    (souvent d’une manière remarquable) dans à peu près tous les domaines de la santé
    et de la maladie. On peut néanmoins dégager un certain nombre de grandes
    propriétés d'où les autres usages découlent :

    • Les Huiles Essentielles stimulent la croissance cellulaire et favorisent la
    cicatrisation
    • Les Huiles Essentielles sont anti-inflammatoires
    • Les Huiles Essentielles sont tonifiantes
    • Les Huiles Essentielles sont analgésiques et antalgiques
    • Les Huiles Essentielles sont calmantes et facilitent le sommeil
    • Les Huiles Essentielles exercent une action régulatrice sur l’ensemble
    de l’organisme
    • Les Huiles Essentielles sont antiseptiques et antibiotiques


    Ce sont là leurs propriétés les mieux prouvées par la recherche scientifique
    moderne.


     Mais ces propriétés sont connues depuis longtemps ! Si les anciens Egyptiens
    recouraient à certaines Huiles Essentielles pour embaumer leurs morts, c'est tout
    simplement qu'ils savaient bien qu'elles pouvaient stopper l'activité microbienne
    responsable du pourrissement des corps.

    La grande majorité des Huiles Essentielles ont ce pouvoir désinfectant, mais
    certaines l'ont plus que d'autres. Citons en particulier les Huiles Essentielles
    suivantes : cannelle, citron, eucalyptus, girofle, lavande, thym.

     

    2 - LES GRANDES PROPRIETES DES HUILES ESSENTIELLES :

    • Les Huiles Essentielles stimulent la croissance cellulaire et favorisent la
    cicatrisation :


    Cette propriété des Huiles Essentielles est très utile pour les premiers soins et le
    traitement des plaies qui guérissent mal. On peut aussi les utiliser pour les brûlures
    du premier et du deuxième degré. Avec les précautions qui s'imposent cependant.

    Il faudrait donc toujours avoir Huiles Essentielles cicatrisante dans votre trousse de
    premiers soins. Vous trouverez facilement sur le marché l'une des huiles suivantes
    qui sont parmi les plus efficaces à cet effet : eucalyptus, hysope, lavande, romarin.

    • Les Huiles Essentielles sont anti-inflammatoires :


    Cette propriété les rend très utiles pour traiter les troubles articulaires relativement
    mineurs comme les bursites ou les tendinites.

    Cette propriété sera encore plus appréciable pour le traitement des maladies
    rhumatismales. En effet, dans de tels cas, la médecine officielle ne peut offrir que
    des produits comportant de nombreux effets secondaires, dont certains très graves.

    Ainsi que le rapporte Philippe Orengo, un chirurgien français réputé, spécialiste du
    genou :

    "On sait que plus de 15 % des pathologies rénales et notamment les insuffisances
    rénales graves sont associées à la consommation d'anti-inflammatoires. On dit
    également que plus de 30 % des ulcères gastriques sont provoqués par ces mêmes
    médicaments. C'est énorme ! Toute une pathologie iatrogène est ainsi provoquée par
    les traitements utilisés en rhumatologie. Plus étonnant encore, on peut lire dans la
    littérature médicale que, dans la majorité des cas, les anti-inflammatoires aggravent
    l'arthrose."

    • Les Huiles Essentielles sont tonifiantes :


    En diffusion, en inhalation ou en usage interne, plusieurs Huiles Essentielles sont
    des toniques de l'humeur et de la vitalité générale. Alors que le thé et le café sont
    des excitants, ces Huiles Essentielles peuvent être définies comme des stimulants.


    Quelle est la différence ? Les excitants épuisent les réserves énergétiques de votre
    organisme tandis que les stimulants vous dynamisent sans pour autant vous rendre
    fébrile. De plus, leur action est progressive et cumulative.

    Parmi les Huiles Essentielles qui tonifient le système nerveux, vous tirerez
    particulièrement profit de celles-ci : poivre noir, menthe, romarin, sauge, bois de
    santal.

    • Les Huiles Essentielles sont analgésiques et antalgiques :


    Ce pouvoir analgésique et antalgique des Huiles Essentielles rendra aussi de grands
    services à tous ceux qui doivent souvent recourir à des sédatifs (aspirine, etc.)
    comme par exemple les migraineux et les arthritiques. Généralement, ces personnes
    font face au phénomène de l'accoutumance et aux effets secondaires qui y sont
    associés.

    Etant donné qu'il existe de nombreuses Huiles Essentielles analgésiques et
    antalgiques, ils pourront contourner aisément ce problème en variant l'Huile
    Essentielle utilisée.
    Parmi les Huiles Essentielles, les plus réputées pour cet usage, mentionnons plus
    particulièrement les Huiles Essentielles suivantes : Camomille, Menthe, Pin,
    Lavande.

     

    • Les Huiles Essentielles sont calmantes et facilitent le sommeil :


    Ces propriétés, qui découlent des précédentes, présentent un intérêt énorme pour
    l'homme et la femme modernes si fréquemment victimes, du stress.

     

    • Les Huiles Essentielles exercent une action régulatrice sur l’ensemble
    de l'organisme :


    On utilise déjà les Huiles Essentielles au Japon pour réduire le stress dans les
    bureaux. En plus d'assainir l'air - souvent malsain - des bureaux, les Huiles
    Essentielles crée un climat paisible et agréable qui favorise la créativité, la
    productivité et l'harmonie entre les travailleurs.

    Vous n'avez pas à attendre qu'on
    instaure cet usage à votre travail. Pourquoi ne prendriez-vous pas l'initiative
    d'installer un petit diffuseur portatif sur votre lieu de travail, ou dans l'intimité de votre
    bureau ?.
    Soyez assuré que tous l'apprécieront et que l’on vous emboîtera le pas rapidement.
    Essayez de tout simplement diffuser une Huile Essentielle quand vous revenez du
    travail et vous pourrez apprécier l'effet dé stressant que l’huile essentielle peut vous
    garantir.

    Les insomniaques retrouveront également le sommeil avec les Huiles Essentielles.
    Que ce soit par l'usage interne, la diffusion ou le massage avec un mélange d'Huile
    Végétale et d'Huiles Essentielles. Les Huiles Essentielles de Camomille, de fleurs


    d'Oranger, de Lavande conviendront particulièrement bien pour profiter des
    propriétés calmantes de ces huiles.

    Les médicaments "officiels" ont le plus souvent une action spécifique. A l'inverse, la
    plupart des Huiles Essentielles sont capables d'exercer une action globale et positive
    sur tout l'organisme.

    Et en même temps, elles désintoxiquent, régularisent et
    stimulent chaque organe. L'Aromathérapie est donc une médecine équilibrante et
    préventive de premier ordre.

    Les Huiles Essentielles sont capables d'une action spécifique sur les divers organes
    et fonctions du corps. Quand il s'agit d'obtenir une action plus directe et plus rapide
    sur un organe ou une fonction en particulier, les Huiles Essentielles peuvent aussi
    vous aider, et souvent avec beaucoup d’efficacité.

     

    Voici une liste des huiles essentielles les plus utilisées :

     

    ASPIC : lavandula spica, BIO, 1.8 cinéole/camphre, fleurs

     

    Action sur plaies, problèmes respiratoires, sinusite, insomnie. Recommandée en bains et
    massages.

     

    BERGAMOTE : citrus bergamia, BIO, acétate de linalyle/limonène/linalol/alpha-thujène, zestes

     

    Antiseptique et rafraîchissante, tonique. Odeur vive fraîche et fruitée. Un grand classique de la
    parfumerie française. Très aromatique.

     

    BOIS DE ROSE remplace par TEA TREE à linalol : melaleuca ericifolia, SAUV, linalol, rameaux
    feuillus

     

    Stimulant et régénérateur cellulaire et tissulaire, antirides, antidépressif. Parfum de rose et
    musc très délicat.

     

    CANNELLIER Feuille : cinnamomum zeylanicum, BIO, eugénol, feuilles

     

    Odeur proche du girofle et cannelle, antiseptique, protecteur.

    Pour utiliser en diffusion ou en
    mélange avec agrumes.

     

    CITRON : citrus limonum, BIO, limonène/béta-pinène/gamma-terpinène, zestes

     

    Bactéricide, antiseptique, tonique, hypotenseur, rhumatisme, variété en provenance de
    Messine. Odeur pure et puissante.

     

    CITRONNELLE : cymbopogon nardus, BIO, citronellol/géraniol/citronellal/P-géranyle/acétate de
    neryle, plantes

     

    Désinfection des locaux, anti-moustiques. A utiliser en diffuseur, en vaporisation sur les
    voilages des rideaux, dans l'eau de rinçage de votre lave-linge.

     

    CYPRES : cupressus sempervire, BIO, A-pinéde/D-3-carène/myrcène/limonéne/cédrol/

    acét-A-térpényle, rameaux

     


    Astringent, tonique, antiseptique, odeur marquée.

     

    EUCALYPTUS : eucalyptus globulus, BIO, cinéole/alpha pinène/trans pinocarvéol, feuilles

     

    Antiseptique pulmonaire et urinaire, stimulant général, oxygénant, psoriasis en massage.
    Odeur de frais et d'air sain...

     

    EUCALYPTUS : eucalyptus radiata, BIO, cinéole/alpha terpinéol/terpinéol-4-ol, feuilles

     

    Idéal pour les enfants car très doux, très efficace même propriétés.

    EUCALYPTUS : eucalyptus smithii, BIO, cinéole/A-pinène/B-eudesmol/T-pinocarvéol, feuilles

     

    Anti-viral, antiseptique, fébrifuge. C'est l'huile essentielle de la respiration, c'est l'eucalyptus
    du massage et du dynamisme.

     

    LAVANDE VRAIE : lavandula vera augustifolia, BIO, linalol/acétate de linalyle/cis-B-ocimène, fleurs

     

    Action sur plaies, problèmes respiratoires, sinusites, insomnies. Odeur incontournable, c'est la
    reine des huile essentielles.

     

    LAVANDIN : lavandula hybrida, BIO, linalol/acétate de linalyle/cinéole/camphre, fleurs

     

    Indispensable à la maison, désinfection, détente, désodorisante, cicatrisante, antiseptique,
    chasse les insectes, etc. Un must chez soi.

     

    LEMON GRASS : cymbopogon citratu, BIO, citral/myrcène, plantes

     

    Appelée aussi verveine des Indes, odeur très présente, conviviale et très subtile. Anti-
    inflammatoire. En massage, elle est utilisée pour les problèmes de cellulite.

     

    MAGNOLIA : michellia albia, SAUV, linalol/trans-B-ocimène/B-élémène, feuilles

     

    Senteur parfumée, chaude et envoûtante. Parfum vert et subtil génère une sensation de bien-
    être.

     

    MANDARINE : citrus reticulata, BIO, limonène/G-terpinène/N-méthylantranilate de méthyle, zestes

     

    Très agréable à respirer, apaisante et calmante, action émotionnelle profonde, ambiance de
    Noël, sourire, rêverie.

     

     MYRTE : myrtus communis, CONV, myrtényle, plantes

     

    Cette huile est expectorante, antitussive, anticatarrhale et agit sur les bronchites.

     

    NIAOULI : melaleuca quinquenervia BIO, cineole/alpha pinène/alpha-terpinol/viridiflorol, feuilles

     

    Antibactérienne et antivirale. Excellent Antispasmodique, utile contre l’asthme. Riche en
    cinéole, le niaouli et très actif avec un parfum très doux.

     

    ORANGE douce : citrus sinensis, BIO, limonéne/myrcène/décanal, zestes

    Équilibrante, apaisante et stimulante, ambiance aromatique puissante. Odeur qui donne le
    sourire, très agréable, vraiment.

     

    PAMPLEMOUSSE : citrus paradisii, BIO, limonène/myrcène/octyl-aldéhyde/décanal, zestes

     

    Antiseptique et exotique. Ambiance aromatique fruitée puissante, délicate, raffinée, l'odeur de
    pamplemousse est un enchantement.


     

    PETIT GRAIN : citrus auranthium bigaradia, BIO, acétate de linalyle/linalol/acétate de néryle/alpha
    terpinéol, feuilles et ramilles

     

    Odeur subtile. Utilisée en cosmétique, odeur verte et fraîche très agréable de la feuille
    d'oranger amer.

     

    PIN SYLVESTRE : pinus sylvestris, BIO, alpha-pinène/béta-pinène/limonène/myrcène, aiguilles

     

    Idem pin maritime, odeur fraîche de forêt et sève de sapin. C'est une huile masculine,
    dynamisante et tonique.

     

    RAVENSARA : ravensara aromatica, BIO, cinéole/alpha terpinéol/sabinène, feuilles

     

    Anti-infectieux par excellence, propriété neurotonique. Traduction malgache "plante qui
    soigne".

     

    ROMARIN à Camphre : rosmarinus officinalis, BIO, camphre majoritaire/cinéole/acétate de bornyle,
    sommités

     

    Stimulant général, tonique circulatoire et musculaire. L'huile essentielle de l'appareil
    musculaire. Idéal en massage.

     

    TEA TREE : melaleuca alternifolia, BIO, terpinéol-4/gamma terpinène/alpha terpinène, sommités

     

    Anti-infectieux, antiseptique universel. Plantes aux mille vertus des aborigènes d'Australie,
    indispensable.

     

    THYM doux à linalol : thymus vulgaris, BIO, linalol/terpinéne-4-ol, sommités

     

    Anti-bactérien puissant sur les staphylocoques et candidas, tonique général et sur le système
    immunitaire.

     

    VERVEINE Yunnan : litséa cubeba, CONV, citrals, herbe

     

    Odeur très puissante voisine de la citronnelle, apaisante, calmante. Originaire de Chine des
    hauts plateaux où l'on produit le thé.

     

    YLANG-YLANG complète : cananga odoratissima, BIO, linalol/D germacrène/actétate de géranyle/B-
    caryophyllène/benzoate de benzyle, fleurs fraîches

     

    Tonique capillaire, régénérant de la peau. Odeur envoûtante jasminée en provenance de
    l'Océan Indien, sable chaud, rêverie...

     

     

     
    Source: www.lespasseurs.com

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  •  

    Amazonite

    Protège de la pollution électromagnétique et des ondes négatives des portables

    Ambre

    Protège des ondes electromagnétiques et purifie les lieux

    Améthyste

    Pierre très puissante, elle protège des ondes électromagnétiques et des énergies négatives environnantes

    Aventurine

    Protège et absorbe les ondes électromagnétiques, ainsi que les ondes négatives des portables

    Calcite jaune

    Protèges des ondes électromagnétiques et purifie la pièce

    Cornaline

    Protège des ondes électromagnétiques

    Cristal de roche

    Protège des ondes électromagnétiques entre autres et assainit un endroit

    Fluorine

    Absorbe les énergies négatives et les ondes électromagnétiques

    Grenat

    Protection contre les ondes électromagnétiques

    *Héliodore (Béryl)

    Pierre très puissante pour assainir un lieu et protège des ondes négatives et électromagnétiques

    *Jaspe brun

    Protège et absorbe la pollution élestromagnétique environnementale

    *Jaspe jaune

    Protège et disperse les énergies négatives environnantes

    Lépidolite

    Protège et élimine les ondes électromagnétiques

    Malachite

    Protège et absorbe la pollution environnante

    Quartz à inclusions de Tourmaline

    Protège et repousse les ondes négatives électromagnétiques et autres

    Quartz enfumé (ou fumé)

    Protège et absorbe les ondes électromagnétiques dans une pièce

    Tourmaline noire (Schörl)

    Protège des ondes électromagnétiques, des portables, des radiations

     

     

    Vous pouvez porter ces Pierres de protection soit en pendentif,

     en Pierre roulée que vous mettrez dans votre poche,

    en Pierres brutes (A mettre à côté de vos appareils,

     dans votre lieu de travail...).

     

    celles qui vous  apportent un bon sommeil  et évitent les cauchemards

     

     

    Améthyste 

    Pierre a mettre sous l'oreiller pour éviter les cauchemars. Apporte un sommeil calme et profond.

    *Grenat grossulaire 

    Détent, apporte un profond sommeil.

    *Jais 

    Protège des mauvais rêves.

    Lépidolite 

    Apaise le sommeil agité et protège des cauchemars.

     

    Que l'on y croit ou non, dans tous les cas, ça ne fait pas de mal !

    Sauf au porte monnaie !

     

    Pierres de protection contre l'influence d'autruit.

     

     

     

     

    Pierre très protectrice et très puissante.

    Chrysocolle

     

     

    Pierre qui protège contre tous types d'énergies négatives.

    Citrine

     

     

    Pierre qui protège contre l'influence d'autrui ainsi que d'autres influences extérieures.

    Corail

    Pierre qui protège contre les mauvaises influences.

    Cornaline

    Pierre qui protège contre les influences négatives.

    Cristal de roche

    Pierre ayant un très grand pouvoir de protection et aide à démasquer les faux amis (es).

    Emeraude

    Pierre qui protège contre les esprits malins.

    Epidote

    Pierre qui protège contre les influences négatives

    *Jais

    Pierre qui protège contre les influences négatives..

    Jaspe rouge

    Pierre qui protège contre les personnes négatives.

    Labradorite

    Pierre qui protège et repousse les énergies négatives et sert de bouclier contre les personnes négatives.

    Malachite

    Importante pierre de protection, elle absorbe toutes énergies négatives.

    Obsidienne noire (ou brune)

    Pierre très puissante, elle repousse les influences négatives.

    Obsidienne 'Oeil céleste'

    Grand pouvoir de protection contre tous types d'énergies négatives.

    Oeil de Taureau

    Pierre qui renvoie les mauvaises influences vers son destinataire.

    Oeil de Tigre

    Pierre qui protège et renvoie les mauvaises influences vers son destinataire.

    Onyx

    Pierre puissante, elle protège des influences négatives.

    Quartz fantôme

    Pierre contre les mauvaises énergies.

    Quartz enfumé ou fumé

    Pierre contre les mauvaises énergies.

    Quartz rutile

    Protection contre les énergies négatives et les influences négatives.

    Sélénite

    Protection contre toutes influences négatives venant de l'extérieur.

    Tourmaline noire 'Schörl'

    Très grande puissance de protection contre toutes sortes d'énergies négatives et d'influences négatives.

    *Tourmaline rose

    Protection contre les mauvaises énergies.

    Turquoise

    Pierre de très grande protection contre les relations néfastes.

     

    protection pour l'habitat, le bureau, 'endroit de Vie'

     

     

    Améthyste 

     

    Pierre très protectrice et très puissante.

    Chrysocolle

     

     

    Pierre qui protège contre tous types d'énergies négatives.

    Citrine

     

     

    Pierre qui protège contre l'influence d'autrui ainsi que d'autres influences extérieures.

    Corail

    Pierre qui protège contre les mauvaises influences.

    Cornaline

    Pierre qui protège contre les influences négatives.

    Cristal de roche

    Pierre ayant un très grand pouvoir de protection et aide à démasquer les faux amis (es).

    Emeraude

    Pierre qui protège contre les esprits malins.

    Epidote

    Pierre qui protège contre les influences négatives

    *Jais

    Pierre qui protège contre les influences négatives..

    Jaspe rouge

    Pierre qui protège contre les personnes négatives.

    Labradorite

    Pierre qui protège et repousse les énergies négatives et sert de bouclier contre les personnes négatives.

    Malachite

    Importante pierre de protection, elle absorbe toutes énergies négatives.

    Obsidienne noire (ou brune)

    Pierre très puissante, elle repousse les influences négatives.

    Obsidienne 'Oeil céleste'

    Grand pouvoir de protection contre tous types d'énergies négatives.

    Oeil de Taureau

    Pierre qui renvoie les mauvaises influences vers son destinataire.

    Oeil de Tigre

    Pierre qui protège et renvoie les mauvaises influences vers son destinataire.

    Onyx

    Pierre puissante, elle protège des influences négatives.

    Quartz fantôme

    Pierre contre les mauvaises énergies.

    Quartz enfumé ou fumé

    Pierre contre les mauvaises énergies.

    Quartz rutile

    Protection contre les énergies négatives et les influences négatives.

    Sélénite

    Protection contre toutes influences négatives venant de l'extérieur.

    Tourmaline noire 'Schörl'

    Très grande puissance de protection contre toutes sortes d'énergies négatives et d'influences négatives.

    *Tourmaline rose

    Protection contre les mauvaises énergies.

    Turquoise

    Pierre de très grande protection contre les relations néfastes.

     

     


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  •  

    Les capacités sont surprenantes !

    ( coupez le son svp , du lecteur en bas de la page , merci ! )

     

    c'est vrai que de fermer sa jambe sur soi  , m'est naturel ,

     je le fait depuis l'enfance, quand je veux me concentrer ,

     sur un quelque chose,

    assise , je ferme ma jambe droite sur moi ,

     et je vous assure que c'est trés efficace ,

     un de mes fils sur mes 3 garçons, fait le même mouvement ,

    donc c'est inné chez nous .

    essayez par vous même , c'est bien amusant !

     

    C'était au temps ou ces jumeaux ,nous apportaient des articles intéressants ! 

    Question : le développement personnel ,

    c'est important pour vous ?

     


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  • Cela fait des années que la chimiothérapie est dénigrée par de très nombreux cancérologues, français et américains et non des moindres, ont osé exprimer leur doute quant aux guérisons obtenues par les voies classiques.

     

    Hardin B Jones, alors professeur de Physique médicale et de Physiologie à Berkeley, avait déjà communiqué en 1956 à la presse les résultats alarmants d’une étude sur le cancer qu’il venait de mener durant vingt-trois ans auprès de cancéreux et qui l’avait conduit à conclure que les patients non traités ne mourraient guère plus vite que ceux qui recevaient la chimiothérapie, bien au contraire.

     

    « Les patients qui ont refusé tout traitement ont vécu en moyenne douze ans et demi.

    Ceux qui se sont soumis à l’intervention chirurgicale et aux autres traitements traditionnels ont vécu en moyenne trois ans seulement[1]. »

    Et le Dr Jones soulevait aussi la question des sommes fabuleuses engendrées par le « Cancer business ».

    Les conclusions déstabilisantes du Dr Jones n’ont jamais été réfutées. (Walter Last, The Ecologist, vol. 28, n°2, Mars-avril 1998.)

     

    Le 4 octobre 1985, le Pr. G.eorges Mathé confirmait à L’Express : « Il y a de plus en plus de cancers parce que le dépistage est beaucoup plus précoce, mais on ne les maîtrise pas aussi bien qu’on le dit, malgré la chimiothérapie qui est surtout prônée par les chimiothérapeutes et par les laboratoires

    [ce qu’il appelait la « cancer-connection],

    et pour cause : ils en vivent. Si j’avais une tumeur, je n’irais pas dans un centre anticancéreux » (cf. Le Monde, 4 mai 1988).

     

    À son tour, le Dr Martin Shapiro écrivait dans un article « Chimiothérapie : Huile de perlimpinpin ? »,

    « Certains cancérologues informent leurs patients du manque d’évidence que ce traitement soit utile, d’autres sont sans doute égarés par l’optimisme des parutions scientifiques sur la chimiothérapie.

    D’autres encore répondent à une stimulation économique.

    Les praticiens peuvent gagner davantage en pratiquant la chimiothérapie qu’en prodiguant consolation et apaisement aux patients mourants et à leurs familles. »

    (cf. Los Angeles Times, 1er septembre 1987).

     

    Cet avis est largement partagé par les docteurs E. Pommateau et M. d’Argent qui estiment que la chimiothérapie

    « n’est qu’un procédé de destruction de cellules malignes comme la chirurgie ou la radiothérapie.

    Elle ne résout pas le problème capital des réactions de l’hôte qui devrait être, en dernier ressort, les seules à rechercher pour arrêter la poussée cancéreuse »

    (Leçons de cancérologie pratique).

     

    Pour sa part, le Pr Henri Joyeux, cancérologue à Montpellier, a déclaré à maintes reprises que « ce sont des intérêts financiers gigantesques qui permettent d’expliquer que la vérité scientifique soit encore aujourd’hui trop souvent occultée : 85 % des chimiothérapies sont contestables, voire inutiles ».

     

    Pour eux, comme pour bien d’autres médecins, les seuls cas de guérison avec cette thérapeutique sont des cas qui peuvent guérir spontanément, c’est-à-dire dans lesquels l’hôte peut organiser ses propres défenses.

    Il est difficile d’être plus clair : la chimiothérapie ne sert à rien !

    Et pour la progression des cas de guérisons, le Dr Jean-Claude Salomon, directeur de recherche au CNRS, cancérologue, estime que le pourcentage de survie à cinq ans après le diagnostic initial s’est accru pour la seule raison que l’on sait faire des diagnostics plus précoces, mais que s’il n’est pas accompagné d’une baisse de la mortalité, l’augmentation du pourcentage de survie à cinq ans n’est pas un indice de progrès.

     

     

    « Le diagnostic précoce n’a souvent pour effet que d’allonger la durée de la maladie avec son cortège d’angoisse. Cela contredit bien des affirmations concernant les prétendues avancées thérapeutiques. » (cf.

     Qui décide de notre santé. Le citoyen face aux experts, Bernard Cassou et Michel Schiff, 1998)

    Le Dr Salomon précise qu’on comptabilise sans distinction les vrais cancers et des tumeurs qui n’auraient sans doute jamais provoqué de maladie cancéreuse, ce qui contribue à augmenter artificiellement le pourcentage des cancers « guéris ».

    Cela augmente aussi, évidemment, celui des cancers « déclarés ». Encore un fait confirmé par le Dr Thomas Dao, qui fut directeur du département de chirurgie mammaire au Roswell Park Cancer Institute de Buffalo de 1957 à 1988 :

    « Malgré l’usage répandu de la chimiothérapie, le taux de mortalité par cancer du sein n’a pas changé ces 70 dernières années. » Ainsi que par John Cairns,

    Professeur de microbiologie à l’université d’Harvard, qui a publié en 1985, une critique dans le Scientific American :

    « À part quelques rares cancers, il est impossible de déceler une quelconque amélioration par la chimiothérapie dans la mortalité des cancers les plus importants.

     

    Il n’a jamais été établi que n’importe quel cancer peut être guéri par la chimiothérapie. »

     

    Nouvelle confirmation du Dr Albert Braverman, hématologue et cancérologue New Yorkais, dans le Lancet :

    « De nombreux cancérologues recommandent la chimiothérapie pour pratiquement toutes les tumeurs, avec un optimisme non découragé par un échec quasi immanquable aucun néoplasme disséminé, incurable en 1975, n’est guérissable aujourd’hui. »

    (cf. La Cancérologie dans les années 1990, vol. 337, 1991, p.901). Quant au Dr Charles Moertal, cancérologue de la Mayo Clinic, il admet que :

    « Nos protocoles les plus efficaces sont pleins de risques et d’effets secondaires ;

    et après que tous les patients que nous avons traités aient payé ce prix, seule une petite fraction est récompensée par une période transitoire de régression incomplète de la tumeur. »

    Alan Nixon, ancien Président de l’American Chemical Society, est encore plus radical :

    « En tant que chimiste, entraîné à interpréter des publications, il m’est difficile de comprendre comment les médecins peuvent ignorer l’évidence que la chimiothérapie fait beaucoup, beaucoup plus de mal que de bien. »

    Ralph Moss est un scientifique non médecin qui étudie le cancer depuis des lustres.

    Il écrit des articles sur le sujet dans de prestigieux journaux, tels que leLancet, le Journal of the National Cancer Institute, le Journal of the American Medical Association, le New Scientist, et a publié un ouvrage The Cancer Industry[2] :

     

    « Finalement, il n’existe aucune preuve que la chimiothérapie prolonge la vie dans la majorité des cas, et c’est un grand mensonge d’affirmer qu’il existe une corrélation entre la diminution d’une tumeur et l’allongement de la vie du patient. »

    Il avoue qu’il croyait autrefois en la chimiothérapie, mais que l’expérience lui a démontré son erreur :

    « Le traitement conventionnel du cancer est tellement toxique et inhumain que je le crains davantage que mourir d’un cancer.

    Nous savons que cette thérapie ne marche pas

    — si elle marchait vous ne craindriez pas davantage le cancer qu’une pneumonie.  

    Cependant, la plupart des traitements alternatifs, quelles que soient les preuves de leur efficacité, sont interdits, ce qui oblige les patients à se diriger vers l’échec car il n’ont pas d’alternative.

    Le Dr Maurice Fox, professeur émérite de biologie au MIT (Massachusetts Institute of Technology) a constaté, comme nombre de ses pairs, que les cancéreux qui refusaient les soins médicaux avaient un taux de mortalité inférieur à ceux qui les acceptaient.

     

    Le Centre du Cancer de l’université McGill au Canada a envoyé un questionnaire à 118 médecins spécialisés dans le cancer des poumons afin de déterminer le degré de confiance qu’ils accordaient aux produits que les scientifiques de l’université étaient en train d’évaluer.

     

    On leur demandait d’imaginer qu’ils avaient un cancer et de dire quel médicament ils choisiraient parmi six autres en cours d’essais.

    Il y eut 79 réponses des médecins, parmi lesquelles 64, soit 81 % n’accepteraient pas de participer aux essais de la chimiothérapie à base de Cisplatine qu’ils étaient en train de tester et 58 autres médecins parmi les mêmes 79, soit 73 %, estimaient que les essais en question étaient inacceptables,

    étant donne l’inefficacité des produits et leur degré élevé de toxicité.

    De son côté, le Dr Ulrich Abel, épidémiologiste allemand du Centre du cancer de Heidelberg-Mannheim, a passé en revue tous les documents publiés sur la chimiothérapie par plus de 350 centres médicaux à travers le monde.

    Après avoir analysé, pendant plusieurs années, des milliers de publications, il a découvert que le taux global de réussite de la chimiothérapie à travers le monde était « lamentable », seulement 3 %, et qu’il n’existe tout simplement aucune preuve scientifique indiquant que la chimiothérapie pouvait « prolonger de façon sensible la vie de patients souffrant des cancers organiques les plus courants ».

    Il qualifie la chimiothérapie de « terrain vague scientifique » et affirme qu’au moins 80 % de la chimiothérapie administrée à travers le monde est inutile et s’apparente aux « habits neufs de l’empereur », alors que ni le docteur ni le patient ne souhaitent renoncer à la chimiothérapie.

    Le Dr Abel a conclu : « Nombre de cancérologues tiennent pour acquis que la chimiothérapie prolonge la vie des patients.

    C’est une opinion fondée sur une illusion qui n’est étayée par aucune des études cliniques ».

    Cette étude n’a jamais été commentée par les grands médias et a été entièrement enterrée.

    On comprend pourquoi.
    En résumé, la chimiothérapie est elle est très toxique et ne peut faire la différence entre les cellules saines et les cellules cancéreuses.

    Elle détruit peu à peu le système immunitaire qui ne peut plus protéger le corps humain des maladies ordinaires.

    Quelque 67 % des gens qui meurent pendant le traitement de leur cancer le doivent à des infections opportunistes qui n’ont pas été combattues par le système immunitaire.

    L’étude la plus récente et significative a été publiée par le journal Clinical Oncology et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward de l’Université de New South Wales-St. Vincent’s Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney.

     

    Leur travail minutieux est basé sur l’analyse des résultats de toutes les études contrôlées en double aveugle menées en Australie et aux États-Unis, concernant la survie de 5 ans mise au crédit de la chimiothérapie chez les adultes durant la période de janvier 1990 à janvier 2004, soit un total de 72 964 patients en Australie et de 154 971 aux États-Unis, tous traités par chimiothérapie.

    Cette vaste étude démontre qu’on ne peut plus prétendre, comme de coutume, qu’il ne s’agit que de quelques patients, ce qui permet aux systèmes en place de les balayer avec mépris du revers de la main.

    Les auteurs ont délibérément opté pour une estimation optimiste des bénéfices, mais malgré cette précaution, leur publication prouve que la chimiothérapie ne contribue qu’à un peu plus de 2 % à la survie des patients après 5 ans, soit 2,3 % en Australie, et 2,1 % aux États-Unis.

    « Certains praticiens restent pourtant optimistes et espèrent que la chimiothérapie cytotoxique prolongera la vie des cancéreux », ont déclaré les auteurs dans leur introduction.

    Ils demandent à juste raison, comment il se fait qu’une thérapie qui a si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années, continue à obtenir un tel succès dans les statistiques des ventes.

    Il est vrai qu’on peut leur répondre que les patients peu curieux ou simplement affolés n’ont aucun choix;on ne leur propose rien d’autre.

     

    Mon commentaire, sur cet hébergeur blog4ver des gens du même groupe d'hébergeur, m'ont fortement dénigrés , il y a 2 ans pour avoir dit sur ce forum communautaire que j'étais une mauvaise personne, en disant que l'on pouvais soigner certains cancers sans chimio !

    Qui était vraiment la mauvaise personne ?, 

    ceux qui m'ont violemment critiqués se reconnaîtrons ! 

    J'espère  pour eux qu'un jour ,

    ils s'excuserons sur ce forum communautaire !

    Les on dit, ont la vie dure,

    même ceux sur le fluor qui n'est pas bon pour notre santé !

    Vérifier s.v.p. avant de mettre de quolibets à une personne , merci ! 

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