• Wayne Dyer travaille comme conseiller d'orientation dans l'enseignement secondaire de Detroit puis à l'Université de Saint John (New York) 1.

    Il poursuivit une carrière académique, publia dans des revues et établit une pratique thérapeutique privée.

    Ses conférences, à la St. John's University, portant sur la pensée positive et les techniques des conférences de motivation, attiraient de nombreux étudiants.

    Un agent littéraire persuada Dyer de documenter ses théories dans son premier livre intitulé Your Erroneous Zones (Vos zones erronées) publié en 1976.

    Dyer quitta son emploi de professeur et entreprit une tournée publicitaire des États-Unis, recherchant obstinément les apparitions dans les librairies et les interviews dans les médias ("de l'arrière de sa station wagon", selon to Michael Korda, atteignant la liste des best-sellers "avant que les éditeurs ne se rendent compte de ce qui se passait"5),

    ce qui éventuellement l'amena à faire des apparitions sur les plateaux de télévision nationaux américains, dans les "talk" prestigieux incluant The Merv Griffin Show, The Tonight Show, et The Phil Donahue Show1. Dyer commença à construire sur son succès avec des tournées de conférences, une série de cassettes audio, et la publication régulière de nouveaux livres.

    Le message de Dyer a résonné avec beaucoup dans le mouvement de la Nouvelle Pensée et au-delà. Il racontait souvent des anecdotes provenant de sa vie de famille et a fréquemment utilisé sa propre expérience de vie comme exemple.

    Son histoire d'homme à succès autodidacte faisait partie de son attrait1. Dyer disait à ses lecteurs de rechercher l'actualisation de soi, parlant du recours au soi comme d'un guide vers l'expérience «religieuse», et suggérait à ses lecteurs d'émuler Jésus Christ, qu'il décrivait à la fois comme un exemple d'une personne auto-actualisée et comme un "prophète de l'autonomie"6.

    Dyer a critiqué l'accent sur la culpabilité dans la société, qu'il voyait comme une immobilisation malsaine dans le présent en raison de mesures prises dans le passé. Il préconisait à ses lecteurs de regarder comment les parents, les institutions, et eux-mêmes, se sont imposés des "trips" de culpabilité7.

    Bien que Dyer ait d'abord rejeté l'étiquette spirituelle, dès les années 1990, il avait changé son message pour inclure plusieurs composantes de la spiritualité quand il écrivit le livre Real Magic et parla de conscience supérieure, dans le livre Your Sacred Self1,8.

     

     

    Bonne écoute  !

    Comment utiliser la loi d'attraction dans sa vie


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  •  

    Voici un petit texte sur le simple fait de bénir

    Invoquer la protection divine sur quelqu'un ou quelque chose.

    Bénir nos ennemis, c'est leur dérober leurs flèches.

    À l'instant même où quelqu'un exprime la moindre agressivité,

    colère ou manque de bonté à votre égard,

    répondez avec une bénédiction silencieuse.

    Bénissez-les totalement, sincèrement, joyeusement,

    car de telles bénédictions sont un bouclier

    qui vous protège de l'ignorance de leurs méfaits,

    et détourne la flèche qui vous est adressée.

    Alors maintenez en vous ce désir de bénir comme une incessante résonance intérieure et comme une perpétuelle prière silencieuse,

    car ainsi vous serez de ceux qui procurent la paix,

    et, un jour, vous découvrirez partout la face même de Dieu.

    Et par dessus tout, n'oubliez pas de bénir cette personne merveilleuse,

    si digne d'amour que VOUS êtes."

    Tiré de : "Vivre sa spiritualité au quotidien" de : Pierre Pradervant

     

     


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  • La Lettre du Professeur Joyeux

    L’EUTHANASIE POUR TOUS
    À TOUS LES ÂGES DE LA VIE ?

    Ce sujet, comme tous ceux que je traite dans mes lettres depuis 4 ans, fait partie de la santé publique, de notre santé et de la conception de la vie humaine. 

    L’exemple le plus actuel est celui de Vincent Lambert, connu de tous.

    Il est aujourd’hui en danger, plus du fait de la médecine (certains médecins refuseraient de le nourrir pour le laisser mourir) que de son propre état de santé.

    Il n’est même pas sûr qu’il soit dans le coma, d’autant qu’il n’a pas besoin d’assistance respiratoire, rénale ou cardiaque. 

    Il est plus que probable que son cerveau fabrique, jour après jour, des neurones nouveaux jusqu’à ce qu’ils atteignent un certain seuil, permettant d’accroître ses réactions.

    Dans cet état, nul doute que la régénération neuronale est à l’œuvre.

    Il est pourtant enfermé depuis 4 ans dans des conditions indignes de la médecine et du serment d’Hippocrate. Un certain nombre de médecins en recherche médiatique, qui ne connaissent rien de son état, veulent le faire mourir, manipulant une partie de sa famille. 

    Pratiquer l’euthanasie sur sa personne serait un meurtre. 

    Tout le monde est capable de le comprendre en visionnant en particulier les interviews de mes collègues et de son avocat et en lisant l'Appel de 70 médecins et professionnels spécialisés dans la prise en charge de personnes cérébro-lésées en état végétatif ou pauci-relationnel (EVC-EPR). Nous pouvons leur faire confiance quand ils affirment :

    « Il est manifeste que Vincent Lambert n'est pas en fin de vie » .


    http://www.jesoutiensvincent.com/chronologie-complete-de-laffaire-vincent-lambert/ 

    https://www.youtube.com/watch?v=LBZDhW4uYU8&sns=em 

    https://www.youtube.com/watch?v=bO4YwjIOGhA&sns=em 

    Mon expérience de chirurgien-cancérologue depuis 1972, date de ma thèse de doctorat de médecine, au contact des patients cancéreux les plus graves et en accompagnant aussi vers la fin de vie de nombreux jeunes et moins jeunes atteints par le SIDA dès 1982, est la raison de cette lettre d’une grande importance.

    Destinée à élargir notre réflexion, elle constitue une alternative au projet d’une loi à venir. 

    Nous devons aborder ce sujet de la fin de la vie avec lucidité, paisiblement et de manière honnête et scientifique, hors des idéologies politiques qui polluent notre société en opposant les opinions jusque dans les familles.

    La Loi Leonetti du 2 février 2016, en créant, avec unz certaine sagesse de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie, n’a pas utilisé le mot ”euthanasie” mais celui de ”sédation profonde” qui reste cependant très proche. 

    L’euthanasie ou la mort programmée 

    Euthanasie, suicide assisté et sédation profonde (qui vous endort à jamais) signifient en vérité la même chose : conduire à la mort, la donner par une injection brutale, comme on le fait pour les bêtes. Et même s’il nous faut respecter les animaux aussi, nous ne nous situons pas au même niveau bioéthique, contrairement à ce que pensent certains. 

    Savez-vous que le mot eu-thanasie signifie étymologiquement ”bonne mort” ? Or, comment peut-on parler de bonne mort quand on accompagne des personnes fragilisées par la maladie et qui savent tout du caractère inéluctable de celle-ci ?

    Certains préfèreraient en finir avec la vie, mais qui demande qu’on les tue ?

    Curieusement je n’ai jamais entendu cette demande, sauf de la part de personnes en pleine vie affirmant sans trop réfléchir « je préfère mourir que souffrir ! » Un peu de décence serait utile ! 

    Ce n’est donc pas ce que nous entendons et voyons avec nos patients atteints du cancer ou du sida, même à un stade avancé.

    Car les espoirs thérapeutiques dans ces maladies sont réels, y compris les prolongations de vie confortables chez les patients ayant une séropositivité au virus du Sida. 

    L’euthanasie, cette mort non naturelle, serait évidemment prévue pour être donnée sur ordonnance médicale.

    Vous aurez alors, comme en Belgique, un mois pour réfléchir à votre fin programmée, avec et par l’exécuteur, votre médecin.

    Elle est déjà réalisée dans certains pays qui se croient en avance, et ne savent surtout pas résister à la demande de la personne rarement, et plus souvent à la demande pressante de la famille et de la société.

    Allons-nous adopter aveuglément les principes de ces nouveaux lobbies fortement médiatisés ? Car, en plus de l’idéologie négativiste à la mode, voilà qu’ils se drapent de l’utopie d’une mort digne qui stimule l’audimat et les ventes de magazines ?

    Devrons-nous les suivre dans les hôpitaux et les cliniques jusqu’à cet abattoir d’un genre nouveau, comme les moutons de Panurge ?

    Cela n’est pas sans rappeler les folies mortelles des idéologies nazies et soviétiques. 

    L’euthanasie devrait-elle être exécutée, parce que la vie, là où elle en est, ne vaudrait plus la peine d’être vécue ? Quelle vie humaine n’aurait plus de valeur ?

    Qui le sait et comment peut-on en juger ?

    Avez-vous imaginé les dérives possibles ?

    Au nom d’une loi réputée “humaine et progressiste“, nos sociétés de demain pourraient être tentées de régler les problèmes de surpopulation, notamment celle des personnes malades aux stades avancés des maladies neuro-dégénératives ou âgées (sur la base de quotas), et de résorber en même temps les déficits de nos systèmes de santé. 

    Les échos que nous recevons, de manière confidentielle ou discrète, de ce qui se passe à nos frontières en Suisse ou en Belgique, ne sont pas réjouissants. Parce qu’un prix Nobel désespéré par la perte de son épouse a demandé la mort, parce qu’un chef d’entreprise très connu, porteur d’un handicap et refusant de vieillir, a fait de même, devons-nous entrer légalement dans cette dynamique du désespoir ?

    On vous répond qu’il faut respecter la liberté, la décision de la personne...

    Mais ceux-là étaient-ils bien accompagnés, en dehors d’une logique seulement cartésienne et indemne de sentiments ? A-t-on pris soin de mesurer l’impact de ce geste sur l’entourage de ces personnes, tel ce petit-fils qui s’est pendu après avoir assisté à la fin programmée de son grand père ? 

    Certains même, croyants-religieux, demandent à être accompagnés spirituellement vers l’euthanasie au cas où la vie éternelle existerait. Plusieurs sont décédés durant cet accompagnement, preuve que la mort peut aussi avoir de l’humour. 

    Une évolution raisonnable : la suppression de la peine de mort

    Nous voyons tous l’évolution qui se dessine depuis plus de 30 ans dans la société française et européenne. Il est bon de la rappeler pour y voir clair et participer, chacun à sa place et humblement, à la prise de bonnes décisions sur ces sujets de vie et de mort qui nous concernent tous. 

    En France, nous avons accepté, à juste raison, l’abolition de la peine de mort dès 1981. La vraie raison était double. L’une, non dite, inscrite au fond de nos consciences comme sur la pierre sculptée au burin par Moïse « tu ne tueras pas ».

    L’autre, de raison, car on sait que le plus odieux des comportements humains est capable d’être transformé positivement quand il est bien accompagné.

    Des histoires réelles de personnes, qui auraient été condamnées à mort dans d’autres temps et sous d’autres lois, démontrent le bien fondé de la suppression de la peine capitale, qui n’a malheureusement pas atteint tous les États de notre planète. Pourquoi donc vouloir la remettre en place sous une forme déguisée ? 

    L’Euthanasie existe déjà au début de la vie

    Paradoxalement, pourrais-je dire, nous avions accepté, déjà légalement, en 1975, l’interruption volontaire de grossesse, c’est-à-dire l’arrêt de la vie humaine à ses débuts. N’y avait-il pas là une contradiction anthropologique (« tu ne tueras pas ») avec la loi abolitionniste de la peine de mort qui allait être proclamée six années plus tard ? 

    Bien évidemment, il fallait faire quelque chose face aux avortements clandestins, si dangereux pour la santé des mères.

    Mais au lieu d’une loi intelligente, celle que voulait Simone Veil, qui aurait vraiment aidé les femmes à éviter la détresse des grossesses non désirées, et à ne pas tomber enceintes sans le vouloir, on a considéré qu’un début de grossesse n’était pas autre chose qu’avoir en soi un amas de cellules, comme une tumeur, qu’on pouvait éradiquer à la demande. 

    Les conséquences pour la mère et pour l’enfant n’ont pas été réfléchies, ce que les générations futures, qui ont eu la chance d’exister, nous reprocheront plus vite qu’on ne le pense. Mieux vaut ne pas donner de chiffres tellement ils sont énormes.

    L’économie même en a été perturbée dans notre Europe vieillissante et fragile, qui s’est mise au diapason de cette évolution sociétale que certains cherchent à imposer comme un droit à la vie partout dans le monde. 

    Ce qu’on nous a fait croire au sujet du début de la vie de chaque être humain est une déformation des faits scientifiques réels.

    Cela a permis de nous déresponsabiliser, en particulier nous les hommes, laissant aux femmes l’entière responsabilité physique et psychique, quelles qu’en soient les conséquences, de stopper en elles une vie humaine débutante, incapable de se défendre. 

    En tant que cancérologue, je sais parfaitement que les cellules du début de notre vie ne conduisent pas à un cancer.

    Elles évoluent, au contraire, jour après jour, jusqu’à la formation d’un embryon qui devient fœtus, lequel devient enfant viable à naître dès les 25 semaines de vie intra-utérine. 

    Il y a donc, dans ces cellules déjà organisées de l’œuf humain, le potentiel d’un Être

    – homme ou femme

    – dans son intégralité.

    C’est pour cela que la loi nous a dit, de l’embryon et du fœtus, qu’il s’agissait d’une personne potentielle, et non d’une personne humaine. 

    Voilà pourquoi les scientifiques ont été plus ou moins autorisés, selon les pays, à conduire des expériences sur ces embryons « personnes potentielles ».

    Quelques milliers d’embryon surnuméraires attendent leur sort dans des congélateurs de laboratoires. 

    Malgré de multiples recherches dans des centres de par le monde, agréés ou pas, la science embryonnaire n’a pas progressé.

    On n’a guéri aucun adulte ou enfant atteint de maladies génétiques ou acquises avec les cellules souches embryonnaires (à ne pas confondre avec les cellules souches non embryonnaires).

    On a, au contraire, appris à mieux les éliminer en légalisant leur éradication : forme moderne de la sélection et de l’eugénisme de triste mémoire. 

    Soulignons aussi que la connaissance de la croissance pendant la vie intra-utérine ainsi que le diagnostic prénatal et les thérapies prénatales n’ont pas progressé en éliminant médicalement ou chirurgicalement de futurs enfants normaux (les plus nombreux) ou ne possédant pas les critères de normalité. 

    L’Euthanasie en marche pour la fin de la vie ? 

    Un certain nombre de nos représentants à l’Assemblée nationale, au Sénat, au Conseil Économique Social et Environnemental, en notre nom à tous, ont déjà décidé. Ils ne connaissent pas grand chose à ces sujets, confortablement assis dans les fauteuils et les palaces de l’État qui les rémunèrent grassement. 

    On nous a fait passer, nous, médecins, cancérologues, réanimateurs et autres spécialistes des maladies des enfants, des adultes ou des vieillards, nous, combattants pour donner la vie, la maintenir, la retrouver... pour des personnes inhumaines, sans discernement, acharnées dans nos techniques et refusant de donner l’injection qui soulagerait définitivement les malades agonisants.

    Qu’on ose, alors que, chaque instant, nous administrons la dose nécessaire pour calmer, en pressentant parfois qu’elle sera définitive, qu’on ose nous accuser de les laisser souffrir sans aide ! 

    Ce qu’on voudrait maintenant, c’est nous imposer de donner la mort à partir des critères de bien-portants, politiques, médecins, juristes et autres, ceux qui ne connaissent ni le cancer, ni le sida, ni toutes les détresses de l’âge. 

    En référence aux définitions modernes de la « vie digne » et de la générosité, et sur la foi de croyances pseudo-scientifiques qui ne respectent pas l’Être humain dans son intégralité, les nouveaux gourous de la vie et de la mort veulent décider à la place de celles et ceux qui se dévouent jour après jour au chevet des souffrants.

    Et il n’y a pas que les médecins, tous les personnels soignants sont concernés.

    Ce n’est pas parce que certains d’entre eux ont jugé légitime de donner la mort, ne supportant plus la souffrance de leurs patients, qu’il faut justifier et légaliser leur geste, lequel traduit d’abord leur souffrance personnelle et leur fragilité.

    Car toute personne, y compris un médecin, n’est pas apte à accompagner une personne en fin de vie. Des formations existent, et sont nécessaires, en accompagnement et soins palliatifs, mais ne peuvent être suffisantes au delà de la simple compassion. 

    Il est vrai que nous sommes faits pour la santé, mais connaissez-vous des vies sans certaines souffrances ? Si la souffrance existe, ce n’est ni pour l’induire, ni pour la laisser évoluer, mais pour la réduire et en rechercher le sens.

    La souffrance a ses causes – organiques, psychiques, affectives, spirituelles même... – comme toute maladie.

    Chacun doit se poser les bonnes questions, et si possible au bon moment. C’est pour cela que les Directives Anticipées (DA) peuvent être utiles, ne serait-ce que pour penser à sa fin de vie. Toutes évidemment expriment le refus de la souffrance et acceptent souvent les prélèvements d’organes, bien que ces directives ne soient pas toujours suivies par la famille lorsque la mort survient. 

    Évidemment, la fin de la vie est une souffrance terrible pour celui qui part, et pour ceux qui restent aussi.

    Elle est d’autant plus atroce qu’elle n’était pas prévue ou même envisagée, surtout quand il s’agit d’un enfant ou d’une personne en pleine force de l’âge, ou de cause(s) encore inconnue(s). 

    On voudrait vous faire croire que les médecins s’acharnent à maintenir la vie coûte que coûte et qu’ils ne craignent pas de prolonger des souffrances sans but.

    Tout cela est faux, absolument faux.

    Nous n’avons pas besoin de loi votée par les bien-portants pour aider les patients en fin de vie à vivre ces moments, toujours difficiles et tellement importants pour eux-mêmes et leur entourage, le plus délicatement possible. 

    J’ai accompagné et j’accompagne encore ces moments douloureux où la présence amicale, amoureuse et le silence font autant de bien que tous les anxiolytiques, antidépresseurs et somnifères. Ces moments où le souffle des mots s’épuise, où l’essentiel est souvent dit, transmis par un regard, une courte phrase, un geste.

    Je pourrais faire part de ces heures passées, en pleine nuit le plus souvent, avec ces personnes, jeunes ou âgées, dont j’ai été le témoin.

    Avant de partir vers l’au-delà, et parfois avec une totale lucidité, j’ai entendu des paroles de vie, des mots d’amour, des confidences, des espérances incroyables .

    Revoir les siens qui nous attendent, être déjà en contact avec eux sur l’autre rive, n’est-ce pas une belle espérance !?

    Comprendre enfin le sens de notre vie et mesurer tout ce que nous avons vécu de réussites et d’échecs, de joies et de tristesses, d’amours et de désamours... 

    Qui décide de la fin de ma vie : moi, ma famille, mon médecin, la société ?

    Est-ce l’avenir de notre société que d’aider au suicide, que de troubler la boussole du sens de la vie chez les personnes fragilisées par la souffrance physique ou affective, que de relativiser les croyances spirituelles qui ont animé et animent encore tant de nos concitoyens, surtout quand on sait que celles-ci sont reconnues scientifiquement comme une aide efficace, et se révèlent plus souvent fortement en fin de vie ? 

    Il est vrai que les acharnés pro-euthanasie et leurs lobbies, le plus souvent des idéologues agressifs – y compris des médecins, des scientifiques médiatiques – ne veulent pas entendre parler d’un au-delà sans fin. Leurs arguments sont simplistes : volonté du patient, souffrance inutile, coûts et gaspillages de temps de vie qui n’ont plus de sens. 

    Progressivement, nous verrons les familles, les médecins et l’État, bref toute la société, demander, en toute bonne conscience, l’euthanasie des personnes atteintes des maladies d’Alzheimer ou de Parkinson aux stades avancés, pour des raisons de générosité, de solidarité, d’amour, de directives anticipées, de mort dans la dignité… Des arguments qui cachent bien mal un profond désespoir, et parfois des motifs moins nobles. 

    Ces nouveaux principes ne respectent pas celles et ceux qui ont l’humilité de croire que la vie est marquée, dès son origine, par un sens éternel, lequel ne peut nous autoriser au droit de vie et de mort sur nous-mêmes. 

    Alors, soyons raisonnables, apaisons le débat et restons-en là. 

    Point besoin de loi, de décision venant d’en haut qui voudrait décider à la place des médecins. Nous avons déjà commis assez d’erreurs ces cinquante dernières années en transgressant et en ne respectant plus le serment d’Hippocrate. Les jeunes générations commencent à ouvrir les yeux. Elles nous reprocheront tôt ou tard les décisions insensées qui ont été prises pour des raisons politiques déguisées en bien commun, bien social, santé publique, alors que cette dernière n’a jamais été aussi perturbée. 

    Faites confiance au corps médical, à votre généraliste, à vos spécialistes quand vous en avez besoin et aux spécialistes des soins palliatifs. Ils connaissent mieux que personne les sujets de la vie et de la mort. Nos représentants, femmes et hommes politiques, doivent transformer positivement le pays ; c’est là que nous les attendons, et pas en jouant le rôle des personnels de santé qu’ils ne sont pas. 

    Bien à vous tous. 

    Pr Henri Joyeux 


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  • Chaque individu s’incarne avec son propre programme de vie, un but d’incarnation à réaliser.
    Lorsque cet individu progresse dans le sens de son but de vie, tout se passe plutôt bien.

     Il fonctionnera alors en utilisant les énergies qui sont les siennes dans le sens où elles doivent être exprimées.

    Si cet individu s’écarte de son programme de vie (et cela bien malgré lui car il n’a pas conscience souvent de ce qu’il doit faire), il commence alors à mal utiliser les énergies et en attire d’autres qui assureront un déséquilibre.

    Petit à petit, il déséquilibrera ses plans de conscience et créera une tension qui, en s’accentuant, créera un déséquilibre émotionnel et/ou affectif, puis des problèmes énergétiques et enfin une maladie qui s’extériorisera physiquement.

     

    Au départ on s’écarte de son but d’incarnation et au final on se culpabilise (inconsciemment) et on provoque une maladie afin de prendre conscience que nous ne sommes plus sur notre voie.

     

    Selon le type de maladie, il y a quelque chose à comprendre qui aide à ne plus reproduire le schéma négatif qui a amené jusqu’à cette maladie.

     

    Ni Dieu, ni les astres ne sont responsables de quoi que ce soit. Il est grand temps d’assumer nos actes et de grandir.

    Si vous vous éveillez et si vous devenez conscient, vous resterez dans les énergies de votre but d’incarnation et vous n’aurez plus besoin d’être malade pour tirer les leçons de votre existence. Cela est une autre histoire …

    Dictionnaire du « Mal à Dire »

    Abcès : Indication de colère refoulée depuis un moment.

    Il est temps de faire le ménage dans ses pensées, blessures, affronts. Pensées de vengeance suite à une blessure ou de l’irritation répétée.

    Accident : Rejet de l’autorité, foi en la violence, colère.

     

    Acné : Manière indirecte de repousser les autres, par peur d’être découvert, de montrer ce qu’on est réellement, parce qu’on pense qu’on ne peut pas être aimé tel que l’on est. Puisqu’on se rejette, on crée une barrière pour que les autres ne nous approchent pas. Refus de sa propre image, de sa personnalité ou de sa nouvelle apparence. Honte des transformations corporelles.

    Difficultés à être soi-même, refus de ressembler au parent du même sexe.

     

    Allergie : A qui es-tu allergique ?

    Personnalité faussée, impressionnabilité. Rejet de son pouvoir sur les événements de sa vie.

    Aversion envers quelqu’un et ne peut plus le tolérer. Difficulter à s’adapter à quelqu’un ou à une situation.

    Personne qui se laisse beaucoup trop impressionner par les autres, surtout par celles qu’elle veut impresionner. Susceptible.

    Elle vit des contradictions intérieures.

    Une partie d’elle aime quelque chose ou quelqu’un et l’autre partie le lui défend.

    Elle aime beaucoup quelqu’un et elle en dépend.

    Une partie d’elle désire la présence de l’autre et une autre partie lui dit qu’elle devrait s’en passer. Si c’est une allergie à la poussière ou à un animal, c’est que l’on se sent certainement assez vite agressé par les autres.

     

    Alcoolisme : Sentiment d’être inutile et inadéquat, culpabilité et rejet de soi.

     

    Alzheimer : Personne qui veut fuir la réalité.

    Incapacité de faire face aux difficultés.désir de fuir ses problèmes.

    Personne qui gérait toujours tout et qui avait une excellente mémoire mais pas toujours bien utilisée.

    Elle avait réponse à tout.

    Comme elle se sentait obligée envers les autres, elle leur en voulait de ne pas s’occuper d’elle ou pas comme elle le voulait. Avec la maladie, cela lui permet de ne plus avoir de responsabilités et de les contrôler, surtout la personne qui va devoir s’en occuper.

     

    Amnésie : Fuir sa vie, grande peur, difficulté de s’affirmer.

     

    Ampoule : Résistance, manque de protection émotionnelle dans une nouvelle expérience.

     

    Amygdalite : Emotions de peur et de colère ravalées, réprimées, retenues.

    Anémie : Absence de joie et d’intérêts dans la vie. Vie basée sur des « Oui mais…. »

    Angine : Quelque chose qu’on n’a pas osé dite et/ou qu’on a ravalé. Se sentir étouffé, incompris.

    Anorexie : Grand rejet de soi et de sa vie.

    Anus (problèmes d’) : Difficulté de lâcher prise face à une personne ou à une situation. Fissure anale : Déception face à ses attentes, frustration.

    Anxiété : Manque de confiance en son Soi face aux évènements de sa vie. Utilisation non-bénéfique de son imagination.

    Apoplexie : Pensées intenses d’inquiétude ou de peur qui te glacent.

    Appendicite : Peur, peur de la vie, colère intérieure provoquée par le sentiment de se sentir retenu dans les élans (projets) de la vie.

    Artériosclérose : Résistance, tension, étroitesse d’esprit, peur de souffrir qui amène à se replier sur soi-même.

    Arthrite : Amertume, ressentiment, critique. Se sentir non-aimé(e). Diffiulté de dire non qui donne souvent le sentiment d’être utilisé. Critique intérieure des autres. Dévalorisation de soi-même.

    Asthme : est lié à l’hyper-sensibilité, l’amour étouffé, des pleurs réprimés ou supprimés, le sentiment d’être étouffé. Chez l’enfant: amour étouffant. Chez l’adulte : ne pas vouloir montrer sa vraie nature de peur d’être blessée, ce qui amène le sentiment d’être étouffé.

    Attaque : Rejet de, violence dirigée contre moi, résistance extrême.

    Bégaiement : Insécurité qui vient de la peur de s’exprimer. Personnalité en retrait, non-affirmée.

    Bleus : Les petites bosses de la vie.

    Bosse de bison : Colère rentrée, ressentiments accumulés, passé de colère.

    Bouche (problèmes) : Incapacité à faire entrer les idées nouvelles. Opinions arrêtées. Esprit fermé. Se fermer aux opinions des autres. Ulcères : petites colères qu’on tait.

    Bouton : Impatience, petite frustration.

    Bras : Le bras est le prolongement du coeur et est lié à l’action de faire et de recevoir, ainsi que l’autorité, le pouvoir.

    Difficultés à aimer ce que je dois faire.

    Se sentir inutile, douter de ses capacités, ce qui amène la personne à se replier sur elle et à s’apitoyer sur ses souffrances.

    Se croire obligé de s’occuper de quelqu’un.

    Ne pas se sentir à la hauteur lorsqu’on est le « bras droit » de quelqu’un.

    Difficulté à prendre les autres dans ses bras, à leur montrer de l’affection.

    S’empêcher de faire des choses pour soi-même, parce qu’on se souvient des jugements négatifs et des interdictions durant l’enfance, ce qui était blessant.

    Ne pas se permettre de prendre ou de regretter d’avoir pris quelque chose, ou de penser avoir obtenu quelque chose sans le mériter.

    Se rapporter au fait d’avoir été jugé par ses parents.

    Vouloir emprisonner quelqu’un dans ses bras pour l’avoir sous contrôle, mais avoir dû le laisser s’envoler et ne plus pouvoir l’aimer et le protéger (un enfant, par exemple).

    Vivre une situation d’échec, devoir baisser les bras.

    Penser qu’on en prend trop et qu’on ne peut pas arriver à accomplir tout comme on le voudrait.

     

    Bras (difficulté ou impossibilité à le lever) : Conflit avec sa famille, difficulté à voler de ses propres ailes.

     

    Bronchite : Milieu familiale irritant. Se sentir irrité, critiqué, brimé dans sa liberté par son environnement.

     

    Brûlure : De la colère qui se consume. Rage intérieure, irritation, colère.

     

    Bursite : Colère réprimée, vouloir frapper quelqu’un. Colère qui amène à prenser quelque chose du genre : « Je te battrais… »

     

    Calculs biliaires lithiases biliaire : Pensées ou jugements top durs envers soi-même, envers son entourage ou envers la vie, ou craindre les jugements des autres.

    Amertume intérieure, mécontentement envers soi-même ou quelqu’un de l’entourage. Désir de revanche, détester quelqu’un.

    Envie ou jalousie non avouée.

    Désir de montrer au monde entier de quoi on est capable.

    Être décidé à aller de l’avant, en étant conscient de ses capacités, mais se sentir arrêté ou limité par quelque chose ou par des peurs.

    Peur de perdre, ou de perdre la partie, de quitter quelqu’un ou une situation, sensation de devoir se justifier.

    Désir de clarifier une situation ou refus de d’y voir clair.

    Difficultés à accepter ses sentiments et émotions, surtout s’ils sont négatifs.

     

    Cancer : Secret profond ou vieux chagrins qui rongent de l’intérieur. Vieux ressentiments. Blessure profonde.

     

    Cardiaque (troubles) : Problème émotionnel de longue date. Absence de joie, rejet de la vie. Foi dans l’effort et la pression.

     

    Cataracte : Avenir sombre, incapacité de voir en avant.

     

    Cervicales, nuques raides ou douleurs : Intransigeance, rigidité

    Cholestérol : Peur d’accueillir la joie, les conduits de la joie sont bouchés.

    Crise de foie : Colère retenu, rancune

    Cirrhose : Maladie liée à l’alcoolisme qui est souvent en rapport avec ces émotions : forme d’autodestruction, rejet de soi-même et de sa vie, culpabilité de vivre. Trouver que la vie est injuste, être au bout de ses limites.

    Colite : Parents trop exigeants, oppression, défaite, besoin d’affection.

    Constipation : Refus de se défaire de ses veilles idées, mesquineries.

    Cou (problèmes de) : Manque de flexibilité, entêtement, dogmatisme

    Crampe : Tension, s’accrocher, retenir.

    Cuisse : Difficulté de se faire plaisir dans les projets futurs à cause d’une partie adulte trop sérieuse à l’intérieur de soi.

    Démangeaison : Désirs insastifaits, remords, punition par culpabilité.

    Dents : indécision de longue date, incapacité de broyer les idées afin de les analyser et prendre des décisions.

    Dents, aphtes, abcès : Serrer les dents pour affronter une situation ou une personne sans rien dire

    Dépendance (toxicomanie) : Rejet de soi-même, peurs, manque d’amour.

    Dépression : (Dé-pression) Moyen utilisé par les gens pour ne plus avoir à vivre de pression, surtout affective.

    Elle est l’expression d’un refoulement profond d’émotions : un manque d’expression de notre ressenti intéireur. Manque d’estime et de confiance en soi.

    Diabète : Sentiment de tristesse profonde. La vie est terne et amère.

    Diarrhée : Panique, rejeter les idées trop vite, rejet du passé, peur.

    Doigts : Faire des chichis avec les détails de la vie.

    Message que sa recherche n’est pas motivée par la bonne raison.

    Pouce : Représente notre partie volontaire et responsable.

    La personne veut contrôler les autres.

    Index : Représente la force de caractère et la puissance de décision. Il représente les ordres, l’autorité.

    Majeur : Est lié à la restriction, à la vie intérieure et à la sexualité

    Annulaire : Représent l’idéal rêvé dans un couple et la dépendance d’une autre personne pour arriver à cet idéal. Les douleurs représentent le chagrin face à sa vie intime.

    Auriculaire : Représente l’intuition, l’agilité mentale et la facilité de communication. La facilité avec laquelle il se détache des autres doigts montre son besoin d’indépendance et sa curiosité naturelle.

    Dos (problèmes de) : Manque de soutien.

    Haut du dos : Manque de soutien affectif, retenir l’amour.

    Bas du dos : Manque de soutien financier, peur de l’argent.

    Douleurs : Congestion, blocages. Foi dans l’esclavage. Auto-punition contre la culpabilité.

    Eczéma : Anxiété, peur de l’avenir, difficultés à s’exprimer.

    Hyper-sensibilité. Individualité et personnalités blessées.

    Impatience et énervement de ne pas pouvoir résoudre une contrariété.

    Séparation, deuil, contact rompu avec un être cher.

    Chez les enfant, l’eczéma peut résulter d’un sevrage trop rapide ou d’une difficulté de la mère à accepter que son enfant ne soit plus « en elle ».

    Sevrage de l’allaitement ou reprise du travail de la maman et culpabilité non exprimée, mais que l’enfant ressent et somatise ainsi.

    Querelles ou tensions dans la famille, que l’enfant ressent. Insécurité.

    Embonpoint : Insécurité, rejet de soi, recherche de l’amour, protection du corps. Tentative pour « remplir » son Moi. Peur de perdre quelqu’un ou quelque chose. Emotions refoulées.

    Engourdissement : retenir l’amour ou la considération.

    Epaules (douleurs) : Prendre tout sur soi, porter un fardeau, prendre tout sur soi.

    Epaules (problèmes) : Les épaules portent les joies, les peines, les responsabilités, les insécurités. Le fardeau de nos actions et tout ce qu’on voudrait faire mais qu’on ne se permet pas ou qu’on n’ose pas.

    On se rend responsable du bonheur des autres, on prend tout sur soi, on a trop à faire, on se sent écrasé, pas épaulé, pas soutenu.

    Douleurs possibles aussi quand on nous empêche d’agit ou que l’on nous impose des choses.

    Lorsqu’on vit une situation dont on ne veut plus, on désire passer à autre chose mais le manque de confiance en soi nous bloque.

    On manque d’appui, de moyens.

    On ne se sent pas aidé.

    Une personne chère ou l’un de nos parents vit de la tristesse et on aimerait prendre son chagrin et ses problèmes pour l’en libérer.

    Colère retenue contre un enfant ou une autre personne qui se la coule douce alors qu’on ne se donne même pas le droit de prendre un temps de pause.

     

     

    Au travail ou à la maison, avec son conjoint, on se sent dans l’obligation de se soumettre, on se sent dominé sans oser réagir.

     

     

    On paralyse ses épaules pour s’empêcher d’aller de l’avant, de faire ce qu’on aimerait vraiment. On prend le fardeau sur soi plutôt sur d’exprimer ses demandes et ses ressentis, de peur de mécontenter l’autre.

     

    Epaule gauche: On vit de l’insécurité affective

     

    Epaule droite : On vit l’insécurité matérielle

     

    Epilepsie : Rejet de la vie. Sentiment de persécution,

    Violence retournée vers soi-même.

     

    Foie (maladies) : Diffiucltés à s’adapter à des changements professionnels ou familiaux, à une situation, sentiment de manque continuel ou peur de manquer, colère refoulée.

    Les personnes sujettes aux maladies du foie sont des personnes qui critiquent et/ou qui jugent beaucoup (elles-mêmes et les autres) et/ou qui se plaignent souvent.

     

    Estomac (problème d’) : Incapacité d’assimiler les idées. Peur des nouvelles idées.

    Evanouissement : Peur, battu(e) d’avance, disparais.

    Excroissances : Blessures dorlotées, sens des valeurs faussés, orgueil.

    Fatigue : Résistance, ennui, manque d’amour pour les actes accomplis.

    Fibromyalgie: Se sentir souvent « de trop », ou se rendre malade pour attirer l’attention, pour qu’on s’occupent enfin d’elles, qu’on remarque leur existence.

    Vivre une vie qui n’est pas la sienne, qu’on n’a pas choisie ou faire ce qu’on attend d’elles, mais qui ne correspond pas à leurs désirs.

    ce n’est pas ce qu’ils veulent.

    Ils se coupent de leurs émotions.

    Violence contre soi, trop grande sévérité envers soi-même.

    Se sentir pris en étau entre ses parents, ou vivre de la colère refoulée depuis longtemps. Il semblerait que les sources de la fibromyalgie remontent très souvent à l’enfance, à la suite d’un événement ou d’un contexte qui a généré de la culpabilité.

    Personnes qui culpabilisent, qui ne se donnent pas le droit d’exister et même parfois, qui regrettent d’être nées car elles pensent que leur naissance ne rend pas leurs parents heureux, ou qu’ils seraient bien mieux sans elles.

    Grande douleur intérieure, de l’anxiété, du perfectionnisme poussé à l’extrême, pression de l’entourage ou de soi-même, difficultés à s’affirmer, à se faire reconnaître, à recevoir de l’amour.

     

    Fièvre : Consummé par la colère.

     

    Fièvre des foins : Congestion sur le plan émotionnel, croyances des masses populaires et peur devant le calendrier.

     

    Foie (problème de) : Dépression, répression, plaintes chroniques, le foi est le foyer de la colère.

    Folie : S’échapper, se replier sur soi, coupure violente avec la vie, fuite de la famille.

    Furoncle – clous : Colère qui bout et déborde.

    Gaz (Douleurs causées par) : s’aggriper, idées non digérées. La peur fait avaler de l’air.

    Genoux (en général) : Refus de céder, incapacité de se plier, d’obéir ou de se soumettre, inflexibilité, peur, ego, orgueil, raideur, entêtement.

    Genoux (Douleurs), genoux qui flanchent, genoux qui craquent, douleurs aux ménisques : refus de plier, de se « mettre à genoux » (de se soumettre) de céder, fierté, ego, caractère inflexible ou au contraire, on subit sans rien oser dire, on s’obstine, mais nos genoux nous disent que nous ne sommes pas d’accord avec cette situation.

    Difficultés à accepter les remarques ou les critiques des autres. Problèmes avec l’autorité, la hiérarchie, problèmes d’ego, d’orgueil.

    Devoir s’incliner pour avoir la paix. Ambition réfrénée ou contrariée par une cause extérieure, Entêtement, humiliation. Culpabilité d’avoir raison. Colère d’être trop influençable.

    Gingivite et problèmes de gencives : Incapacité de renforcer les décisions prises.

     

    Glandes et problèmes glandulaires : Déséquilibre, manque d’ordre. Mauvaise distribution.

     

    Glaucome : Pression émotionnelle résultant d’anciennes blessures.

     

    Gorge (problèmes de) : La voix de l’expression.

    Colère réprimée. Heurt émotionnel avalé.

     

    Goutte : Impatience, colère, domination.

     

    Haleine (mauvaise) : Attitudes corrompues, vils commérages, pensées infâmes.

    Hanches (problèmes de) : Peur d’aller de l’avant dans les décisions importantes.

    Hémorroïdes : Fardeau – pression – tension – peur de « lâcher prise ».

    Hépatite : se faire du mauvais sang, situation personnelle difficile, relations tendues, sentiment d’échec, d’injustice. 

    impression de se perdre, ne pas distinguer le bien du mal.

    Avoir été obligé de faire quelque chose. Peur, colère, haine.

    Le foie est le foyer de la colère et des émotions primales.

     

    Hernies (en général) : de la détresse implose à l’intérieur et demande à être libérée. Désir de rompre ou de quitter une situation où on se sent coincé, mais où l’on reste par peur de manquer de quelque chose, généralement du matériel.

    Auto-punition parce qu’on s’en veut, incapacité à réaliser certaines choses qu’on voudrait. Frustration de travailler dur, se sentir poussé à aller trop loin, ou essayer d’atteindre son but d’une manière excessive, qui en demande trop.

    Une poussée mentale (de stress) essaie de sortir.

    Effort, pensées lourdes, auto-punition, colère, fausse expression créatrice.

     

    Hernie inguinale : (dans l’aine) : difficulté à exprimer sa créativité, secret que l’on renferme et qui nous fait souffrir.

    Désir de rompre avec une personne qui nous est désagréable, mais avec laquelle on se sent engagé ou qu’on est obligé de côtoyer. On aimerait sortir, s’extirper de cette situation.

     

    Hernie ombilicale : nostalgie du ventre de la mère où tout était facile et où se sentait totalement en sécurité.

    Refus de la vie.

     

    Hernie discale : conflit intérieur, trop de responsabilité, sentiment de dévalorisation, ne pas se sentir à la hauteur de ce qu’on attend de nous, projets et idées non reconnus. La colonne vertébrale représente le soutien.

    Besoin d’être appuyé, soutenu, mais difficulté ou impossibilité de demander de l’aide. Indécision, manque d’appui sur le plan émotionnel.

     

    Hernie hiatale : se sentir bloqué dans l’expression de ses sentiments, de son ressenti. Refouler ses émotions.

    Tout vouloir diriger, ne pas se laisser porter par la vie mais la contrôler.

     

    Hypoglycémie : Système non équilibré, manque de joie.

    Impuissance : Pression sexuelle, tension, culpabilité. Croyances sociales. Dépit contre un partenaire précédent.

    Incontinence d’urine : Peur d’un parent, surtout du père.

    Indigestion : Peur, terreur, anxiété.

    Infections urinaires à répétition : Difficulté à trouver ou à prendre sa place.

    Infections – Maladies en « ite », ex. Amygdalite : Irritation, colère, désagrément.

    Infirmités : Karmas. C’est toi qui as choisi de naître ainsi. C’est nous qui choisissons nos parents.

    Influenza : Contamination par des croyances négatives populaires, peur, foi dans les statistiques.

    Insomnie : Tension, culpabilité, peur.

     

    Intestin grêle : Les douleurs, diarrhées, ulcéres,… nous parlent de nos difficultés à assimiler les expériences, à les laisser pénétrer en nous sans les juger.

    Il dédice quelle information il laisse passer ou non.

    Tendance à trop juger les événements et les autres à raisonner excessivement en termes de bien ou de mal, de tort ou de raison.

     

    Intestin (le gros) (tensions, souffrances) : signifient que nous retenons les choses, que nous les empêchons de partir.

    Peur de manquer, de se tromper, retenue excessive (timidité) ou refus d’abandonner, de lâcher, sont exprimés par des problèmes au gros intestin (constipation, douleurs, ballonnements, gaz, etc.).

    Difficulté à « cicatriser », à oublier les mauvaises expériences, l’acidité venant souvent signer la présence supplémentaire d’une colère rentrée et gardée.

    Comme il sert à éliminer, à rejeter ce que nous avons ingéré (aliments) et que nous n’avons pas assimilé, le gros intestin sert aussi à évacuer, à rejeter les expériences que nous avons ingérées (vécues) et que nous n’avons pas acceptées.

     

    Jambes, pieds, chevilles : Peur de l’avenir, difficultés à aller de l’avant ou besoin de « lever le pied », vos jambes vous portent vers l’avant.

     

    Jaunisse : Préjugés. Croyances ternes.

     

    Kystes (seins) : Déviation de la croissance. Chocs et blessures dorlotés.

     

    Laryngite : Peur d’énoncer des opinions. Ressentiment contre l’autorité.

    Colère.

     

    Lombaires (douleurs) : Peur de l’avenir, du changement ou de manquer d’argent

     

    Mains (problèmes de) : Aptitude à prendre et à abandonner les idées. Peur des idées nouvelles.

     

    Mal de mer : Peur. Peur de la mort.

     

    Mal de voiture : Peur, captivité. Sensation d’être pris dans un piège.

     

    Maux de tête : Tension. Bouleversements émotionnels, blessures, incertitude, peur.

     

    Ménopause (problèmes de) : Peur de devenir inutile.

    Rejet de soi-même. Peur de vieillir.

     

    Menstruation (problèmes de) : Rejet de sa féminité. Culpabilité, peur.

    Croire que les organes génitaux sont synonymes de péché et de souillure.

     

    Meurtrissures (bleus) : Les petits heurts de la Vie.

     

    Migraines (maux de tête) : Résistance au courant de la Vie. Accès émotifs. Peurs d’origine sexuelle.

    Nerfs, nervosité : Communication, lutte, précipitation, peur, anxiété.

    Oedème : De quoi ou de qui refuses-tu de te défaire?

    Ongles : Excès d’analyse dans les mini-détails.

    Ongles (se ronger) : Rancune d’un parent. Se gruger (se tromper).

    Oreilles (maux) : Colère. Ne veut pas entendre.

    Os (problèmes d’) : Révolte contre l’autorité. Les os forment la structure de l’Univers.

    Otite, douleurs d’oreilles : Refus d’entendre ou d’écouter quelqu’un ou quelque chose. Le côté droit est celui de la maman tandis que le côté gauche est celui du papa.

    Palpitations cardiaques, sueurs, tremblements, mains moites : Angoisse, peur

    Paralysie : Peur, évasion, résistance. Choc !

    Peau (problème de) : Les maladies de peau ont souvent leur origine dans un conflit de séparation mal géré, mal vécue, soit par le mère, soit par l’enfant ou la peur de rester seul et un manque de communication.

    Séparation aussi envers soi-même : dévalorisation de soi vis-à-vis de l’entourage. Porter trop d’attention à ce que les autres peuvent penser de nous.

    Menacé dans son individualité. Manque de sécurité. Impatience.

     

    Pieds (problèmes de) : Peur de l’avenir. Peur d’avancer dans la vie.

    Les pieds comprennent. Orteils : menus détails de l’avenir.

     

    Pneumonie : Désespoir, fatigue de la vie.

    Blessure à l’émotivité. Perturbation intérieure.

     

    Poumons : Peur d’aspirer et d’expirer la Vie.

    Pression du sang : Haute : problème émotif de longue date non résolu.

    Basse : Défaitisme, dépression, tristesse.

     

    Prostate (problèmes de) : Pression et culpabilité sur le plan sexuel. Foi dans la vieillesse. Abandon, défaite.

     

    Psoriasis : Insécurité émotive.

    Quelqu’un te frotte à rebrousse-poil. Personne souvent hypersensible qui n’est pas bien dans sa peau et qui voudrait être quelqu’un d’autre.

    Ne se sent pas reconnue, souffre d’un problème d’identité.

    Le psoriasis est comme une cuirasse pour se défendre.

    Besoin de se sentir parfait pour être aimé.

    Souvent un double conflit de séparation, soit avec deux personnes différentes, soit un conflit non résolu, réactivé par une nouvelle situation de séparation.

    Se sentir rabaissé ou rejeté, à fleur de peau. Se protéger d’un rapprochement physique ou protéger sa vulnérabilité, mettre une barrière.

     

    Rachitisme : Sous-alimentation émotive. Manque d’Amour et de Sécurité.

    Reins (problèmes de) : Critique, sensibilité, désappointement, frustration.

    Rétention des liquides : Qu’as-tu peur de perdre?

    Rhumatisme : Manque d’Amour. Ressentiment. Amertume chronique. Vengeance.

    Rhumes : Confusion, désordre, petits heurts. Croyances familiales et croyances dans les calendriers.

    Sang (problèmes de) : Absence de Joie. Manque de circulation au niveau des idées. Pensée stagnante.

    Sciatique : Peur de l’argent et peur de l’avenir.

    Scléroses multiples : Durcissement de la pensée. Sécheresse du coeur. Volonté de fer. Inflexibilité.

    Seins : Kystes aux seins : surprotection, trop maternelle. Douleurs mammaires : attitudes autoritaires, tranchantes.

    Sinusite : Ne pas pouvoir « sentir » la proximité de quelqu’un qui nous irrite.

    Surdité : Qu’est-ce que tu ne veux pas entendre ? Rejet, entêtement, isolement.

    Talon : Désire d’aller de l’avant mais hésite parce qu’elle n’est pas soutenue.

    Elle aime avoir le consentement et le soutien avant de passer à l’action et elle se sent coupable si elle agit sans l’accord des autres.

     

    Tendinite : Personne qui vit ou a vécu de la colère refoulée. Personne qui s’empêche d’agir par peur d’une rupture.

    L’endroit affecté donnera une indication sur le domaine où se situe la peur.

     

    Thyroïde : Profonde tristesse de ne pas avoir pu dire ce qu’on aurait voulu. Sentiment d’être trop lent par rapport à ce qu’on attend de nous.

    Impuissance, sentiment d’être coincé dans une situation, être devant un mur, dans une impasse.

    Etre bloqué dans la parole ou dans l’action être empêché d’agir. Pas le droit de parler, de s’exprimer. Ne pas se sentir écouté.

    Difficultés à s’affirmer.

    Une déception ou une injustice n’a pas été « avalée » et est restée en traver de la gorge.

    Chagrin non reconnu par l’entourage.

     

    Hyperthyroïde : Désir de vengeance, besoin de prouver ses capacités.

    Trop en faire pour être aimé.

    Croire que tout est urgent, il faut tout « faire vite ».

    Colère et tristesse de ne pas avoir dit ce qu’on aurait aimé ou voulu dire à une personne ou dans une situation. Se sentir dépassé par les événements.

    Non-dits accumulés.

     

    Hypothyroïde : Profond découragement : « à quoi bon ? » . Aimerait en faire plus mais ne se demande pas quels sont ses vrais besoins.

    Personne ne nous comprend.

    Rancune tenace et nourrie pendant des années.

    Résignation, abandon de la vie.

    Désir de fuir les réalités, se mettre en retrait. Désir de fuir les réalités, se mettre en retrait. Rancune ancienne non réglée.

     

    Toux : Nervosité, ennui, critique. Étouffé par la Vie.

    Quand la personne a une toux plus ou moins fréquente mais sans raison apparente, c’est souvent parce qu’elle est facilement irritable, elle a une critique intérieure très active. Son corps réclame plus de tolérance envers elle-même.

     

    Trapèze (douleurs, surtout à gauche) : On porte des masques, on bloque ses sentiments, on entretient des rancunes parfois envers soi-même.

     

    Tuberculose : Égoïsme, possessivité, cruauté. Une maladie qui ronge.

     

    Tumeurs : Déviation de la croissance, blessures et chocs dorlotés.

     

    Tumeur au cerveau : L’ordinateur a mal assemblé les croyances.

    Entêté. Refuse de changer les vieux « schèmes ».

     

    Ulcères : Quelque chose qui vous ronge. Anxiété, peur, tension.

    Foi dans les contraintes.

     

    Urticaire : moyen infantile d’attirer l’attention. Petites peurs cachées. Se faire des montagnes avec des petits riens.

     

    Vaginite : Culpabilité sur la plan sexuel.

    Peur de perdre quelqu’un ou quelque chose qui nous est cher.

     

    Varices : Négation, résistance. Se sentir surmené.

    Tolérer un emploi détesté. Réseau des idées bouché. Découragement.

     

    Végétations : Conflits familiaux. Querelles. Un enfant qui ne se sent pas désiré.

     

    Vénériennes (maladies) : Culpabilité sur le plan sexuel.

    Croire que ses organes génitaux sont synonymes de péché et de souillure.

    Besoin de se punir.

     

    Ventre : Lorsque c’est le haut du ventre qui fait mal, 

    C’est la zone du plexus solaire, cela veut dire que cette personne s’en fait trop pour les autres.

    Elle vit les peurs pour les autres.

    Lorsque c’est le bas du ventre (en bas du nombril), la personne s’en fait trop pour elle-même.

    Elle peut avoir l’impression d’être écrasée comme si quelqu’un lui passait dessus pour arriver à ses fins ou elle a peur de se mettre « à plat ventre » devant quelqu’un et qu’elle s’humilierait pour arriver à ses fins.

     

    Vergetures : La personne doit être plus flexible, moins rigide dans ses rapports avec elle et les autres.

    Elle n’a pas besoin de se créer une carapace pour se protéger. Les femmes enceintes qui voient apparaître des vergetures sont celles qui s’imposent d’avantage parce qu’elles sont enceinte.

    Permettez-vous d’avoir des faiblesses et soyez vous-mêmes.

     

    Verrues : Foi dans la laideur. Culpabilité. Haine envers soi-même.

     

    Vertiges : La personne vit une situation dans laquelle elle a l’impression de perdre pied, de perdre son équilibre. Angoisse de prendre une décision, d’aller vers quelque chose de nouveau. Ses désirs demeurent insatisfaits.

    Elle a vecu de nombreux changements qui ne lui semblent pas équilibrés. Difficultés avec le jugement des autres même si elle ne veut pas les voir.

     

    Vésicules biliaires (maladie) :Elle est en rapport avec l’extérieur, la vie sociale,

    la lutte, les obstacles, le courage.Se battre. Esprit de conquête.

    Se faire de la bile, s’inquiéter, s’angoisser.

    Sentiment d’injustice. Colère, rancune.

    Se sentir envahi, empiété sur son territoire par une personne autoritaire.

    Agressivité rentrée et ruminante, mécontentement retenu.

    Se retenir de passer à l’action. Difficultés à faire un choix.

     

    Vessie : Anxiété. S’agripper à de vieilles idées.

    Vieillissement : Croyances transmises par la société. Penser « vieux ».

     

    Visage : Représente l’individualité.

    C’est par cela qu’on nous identifie. Les personnes susceptibles d’avoir des problèmes au visage sont celles qui ont honte facilement.

    Celles qui se sentent facilement humiliée à la moindre chose.

    Celles qui culpabilisent facilement et qui se forcent à être comme les autres le voudraient et qui ont peur de faire face.

     

    Yeux : Ne pas aimer ce qu’on voit dans sa propre vie.

    Peur de l’avenir. Ne pas voir la vérité.

    On préfère fermer les yeux sur ce qu’il se passe plutôt

    que de risquer de perdre quelqu’un ou quelque chose.

    C’est une façon de se protéger.

     

    Zona : Incertitude nerveuse prolongée.

    Sources :

     Sources 


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