• Les Symboles Métaphysiques Qui Constituent Les Douze Facettes de L’Humain,

    Clef de L’Astrologie.

    Clef de L’Astrologie ( ses symboles)

    Pourquoi l’homme a conçu l’Astrologie,? Pourquoi il ne pouvait faire autrement que reconnaître son propre fonctionnement dans les cycles des astres au fil des saisons?

    L’Astrologie n’est qu’une science occulte parmi d’autres, même si c’est la reine, mais on pourrait prendre chaque science occulte une à une et la rapprocher de l’Hyperscience, ainsi on la comprendrait d’emblée.

    On a déjà évoqué la Tarologie, vous pourrez facilement faire le lien. De même, l’Alchimie doit être déjà parfaitement claire pour vous, d’ailleurs certains appellent l’Hyperscience « l’Alchimie moderne », celle qui fait de l’homme de plomb un homme d’or en remplaçant son corps personnel par son corps universel (passer de l’ego au Soi par la symbiose avec la « matière »).

    Egalement, tout ce qui est magie, radionique, pensée créatrice etc., enseignées et pratiquées dans toutes les sociétés secrètes du monde, trouve son explication rationnelle uniquement dans la compréhension de l’origine de l’esprit et de sa capacité à engendrer et animer un univers à chaque instant. Toutes ces sciences ancestrales inséparables de l’histoire de l’humain (voir « la Sixième Clef – la Clef vibratoire » aux Editions Louise Courteau), jusque là conçues de façon empiriques bien sûr, ont la même source et la même cause. Si on ne les enseigne pas à l’école, si on les discrédite régulièrement dans les médias, c’est parce que ces sociétés secrètes qui mènent le monde en sous-main veulent évidemment en conserver le monopole.

    Cette clarification des fondements des sciences occultes est d’ailleurs une des raisons pour laquelle ces sociétés secrètes institutionnelles haïssent tant l’Hyperscience, considérée comme une concurrence dangereuse par la simplicité et la clarté de son enseignement comme par son éclairage des aspects opératifs de ces Lois de l’Etre.

    Un jour viendra où tout cela ne servira plus qu’à la guérison et la libération de l’individu d’une façon lumineuse et universelle et non plus à la conservation du pouvoir. Quand les puissances monopolistiques seront tombés. D’ailleurs le deuxième volume qui fera suite à « Et l’Univers Fut » ne parlera que de cela : la guérison par la Connaissance. Et d’une façon très pratique à côté de quoi les médecines et psychologies « quantiques » feront pâle figure. « La Connaissance vous affranchira » disait Jésus. Rien d’autre à chercher.

    Mais, après cette « page de publicité », revenons-en à la genèse des signes du Zodiaque et à leur intime relation avec les planètes de notre système solaire et avec les « châkras » qui les relient à notre corps.

    On avait vu comment les quatre premiers Signes métaphysiques, ne font qu’exprimer le premier cycle de la création de l’univers :

    • Bélier et Nécessité première du néant,
    • Taureau et dualité inévitable de ce même néant,
    • Gémeaux qui sépare et relie ces deux premières positions métaphysiques, engendrant la Trinité.
    • Enfin, quatrièmement, la permanence de cette trinité créatrice dans le temps du fait que c’est à chaque instant que sa cause se manifeste, engendre le signe du Cancer.

    J’ai dit « quatre premiers signes métaphysiques » pour éveiller votre curiosité. Parce qu’en fait ce ne sont pas des signes qui sont engendrés mais des « axes ».

    Des axes constitués de deux signes opposés face à face, deux polarités, une métaphysique et l’autre spirituelle.

    La différence entre métaphysique et spirituel est simple : la Métaphysique couvre les abstractions causales à l’origine des apparences physiques, tandis que le Spirituel, ce sont les apparences physiques. Tiens, quelle drôle d’idée de dire que le spirituel est physique alors qu’en général on les oppose…

    On les oppose justement lorsqu’on ignore le Métaphysique. Car dans la dualité de notre esprit conscient, où la dualité est celle des apparences physiques et des apparences psychiques, si on ignore tout ce qui nous est inconscient (et c’est le cas de toutes les sciences, même de la Psychologie qui parle de l’inconscient mais n’est une science que mentale), on ne peut faire autrement que d’être happé par cette apparente dualité et tomber dans le piège.

    Le mental aime se bercer des illusions qui lui donnent pouvoir et existence, il y tient plus qu’à tout, et a toujours tendance à récupérer les réalités à son profit. Il fait donc tout pour continuer de croire que les deux pôles de la réalité c’est « moi » et « l’univers », et croit à la dualité de l’esprit et de la matière.

    L’esprit c’est « moi », la « matière » c’est les autres, le monde qui m’entoure. Cette dualité est totalement illusoire aussi longtemps qu’on ignore le pôle « métaphysique » : La seule dualité est dans les causes et les effets, les causes sont totalement inconscientes, et les effets sont tout le conscient. Le conscient est bien peu de chose, mais nous occupe quasiment à 100 %. On a déjà expliqué tout cela, pourquoi le fait d’être créateur de notre réalité est inconscient et pourquoi on est conscient de ce qui n’est pas. Le double processus d’illusion.

    Ce processus fait que lorsque je suis conscient de quelque chose, je peux être certain que cela n’est pas. Et que la vérité est tout autre. L’illumination ou l’éveil consiste à s’identifier non plus à l’illusion mais à ce « tout autre ». Le « Métaphysique ».

    Ainsi la Réalité est métaphysique et invisible, et toute l’apparence, la dualité consciente, est spirituelle. Elle est spirituelle car tout entière destinée à s’unir aux Principes absolus. Il n’y a aucune place pour le physique. La « matière » est esprit.

    Le zodiaque exprime cette vraie dualité.

    Chaque axe est constitué d’un pôle métaphysique, un signe qui exprime la réalité inconsciente, la succession des causes premières (succession qui ne s’opère pas dans le temps ni l’espace mais qui engendre le temps et l’espace), et en face les apparences, la manifestation sans laquelle les causes seraient sans objet. Il est absurde d’imaginer une cause sans effet, ce ne serait pas une cause.

    Le spirituel est spatio-temporel, ce qui peut choquer certains. On ne peut être créateur s’il n’y a créature. Sans l’homme et l’univers, pas de « Dieu ».

    La dualité universelle n’est donc en aucun cas d’un côté le spirituel ou le divin (les six signes du haut comme on le prétend en Astrologie), et de l’autre le matériel ou l’humain (les six signes du bas). Il faut oublier cette fausse dualité qui nous mène en bateau de vie en vie et de livre en livre dans tous les domaines.

    Le matériel et le spirituel sont une seule et même chose.

    Tout l’univers est spirituel et purement spirituel. Il n’a jamais existé nulle part le moindre grain de « matière » et il n’en existera jamais.

    Tout ce dont j’ai conscience, donc la matière, est intérieur à ma conscience, donc spirituel. Il n’y a pas d’échappatoire.

    Tout ce qui est spirituel est du vécu, que je ne peux vivre autrement que sous forme matérielle : des relations avec des « autrui ».

    La spiritualité est dualiste, cela n’enlève rien à sa valeur.

    Evidemment, bien souvent, le mental matérialiste mélange métaphysique et spirituel, mettant dans un même sac tout ce qu’il considère comme irréel, non matériel.

    Au contraire, le Zodiaque qui exprime le Vrai, est-il divisé en deux polarités, les six signes « du bas » du Bélier à la Vierge, Principes métaphysiques, et les six signes « du haut », de la Balance aux Poissons, Principes spirituels.

    Et regardez à quel point l’homme qui veut tout ramener à son mental sait transformer en plomb tout l’or qu’il touche : au lieu de reconnaître que les signes du bas sont métaphysiques et ceux du haut humains, il a institutionnalisé exactement le contraire !

    En bas, on enseigne que c’est l’humain, avec la « Porte de l’Homme » entre Gémeaux et Cancer (au solstice d’été) parce que c’est à partir de là que la vie apparaît, ce qui est vrai, et on enseigne qu’en haut c’est le monde du divin !

    C’est vrai que là se trouve  la « Porte des dieux » entre Sagittaire et Capricorne, au solstice d’hiver, qui ouvre les trois signes les plus spirituels. Mais cela étant, la spiritualité est tout à fait humaine et pas du tout divine.

    Avec de tels paradoxes, si on n’a pas la clef métaphysique, il est difficile aux astrologues de comprendre l’Astrologie.

    Le fait est qu’en général on l’applique sans la comprendre, ce qui n’enlève évidemment rien à son efficacité.

    On a retrouvé ce même phénomène avec les sciences physiques actuelles : bien que les théories soient dramatiquement et ridiculement fausses, on obtient des résultats technologiques parfois spectaculaires.

    Qu’on utilise ensuite pour se convaincre que les théories sont vraies. Alors que toute l’histoire de l’humanité est l’expression de progrès techniques considérables avec des théories toujours aussi fausses. Pas besoin de savoir ce qu’est le feu, même nucléaire, pour en faire.

    Evidemment les progrès seraient incomparablement supérieurs avec des théories vraies. Tout comme l’Astrologie obtient de bien meilleurs résultats sur les plans ontologique et psychologique avec une compréhension plus grande de sa science.

    Ainsi la dualité en Astrologie ce n’est pas des signes divins au septentrion (automne et hiver) et des signes humains au méridien (printemps et été).

    Les six signes du bas sont au contraire les plus puissants et les plus caractéristiques, et en particulier les trois premiers, justement parce qu’ils sont originels et simplissimes. Principes magnétiques fondamentaux.

    Les six signes du haut sont beaucoup plus subtils et nuancés.

    Et les trois derniers même parfois indécelables.

    Les couleurs qui leur sont associées de même : plus élémentaires en bas, plus complexes en haut.

    Alors on a déjà expliqué la semaine dernière la première suite des quatre premiers signes, du Bélier au Cancer, qui expriment le premier cycle intemporel de la création, jusqu’au temps qui commence avec le signe du Cancer (avant il n’y a pas de temps).

    Mais on n’a pas évoqué la dualité de chaque signe qui forme chaque axe de deux signes opposés.

    Chaque signe connaît sa manifestation « à l’envers », puisqu’on sait que le monde physique est inverse par rapport au monde métaphysique.

    En face du Bélier se trouve le signe de la Balance.

    C’est la manifestation physique du Principe immatériel Bélier, nécessité pure : sa polarité opposée qui lui confère sa réalité, c’est le CORPS, l’apparence, la forme en face du « fond ».

    Il n’y a pas de Soi sans incarnation, et cette incarnation est limitée et donc hésitante par rapport au Bélier qui va tout de suite droit au but.

    L’ego-Balance est fait pour être aimé, pour séduire, et non pour aimer, pour prendre l’initiative. Rien de plus humain. Il symbolise la beauté, la forme, la recherche d’harmonie (régies par Vénus), non plus la force première.

    De cette dualité Bélier-Balance découle le deuxième signe : le Taureau. Et il en sera toujours ainsi en Astrologie : il faut passer par le signe opposé pour parvenir au signe suivant. Si vous ne voyez pas ce que je veux dire, par exemple pour passer du Bélier au Taureau, le signe qui lui fait suite, il faut d’abord passer par la Balance en face.

    Et ensuite seulement on arrive au Taureau.

    Ensuite il faudra passer par le Scorpion, en face du Taureau, pour arriver aux Gémeaux qui est à côté du Taureau (avec un zodiaque sous les yeux c’est plus facile à comprendre). Et ainsi de suite.

    Ce sont des axes qui se succèdent, comme les aimants qui ont deux pôles, non des signes.

    En fait, il y a de grandes chances pour que cette façon de se succéder recoupe la suite des incarnations humaines. Quand on a vécu en tant que bélier, on doit expérimenter le signe opposé, la Balance, à titre de compensation karmique, et ce n’est qu’à la suite de cette seconde incarnation qu’on peut incarner le second signe : le Taureau. Et ainsi de suite. Passer d’abord par le Scorpion, en face du Taureau, pour pouvoir devenir Gémeaux.

    Cette succession de karmas a pour but de conduire jusqu’au signe des Poissons, la spiritualité accomplie, l’idéal presque absolu, qui va amener à une nouvelle incarnation Bélier dans un nouveau cycle, mais sur un plan supérieur (le Bélier n’est pas qu’un chef de guerre brutal et égoïste, c’est aussi « Dieu », le créateur qui insuffle l’énergie au monde.

    Les astrologues le savent bien et sont d’ailleurs un peu gênés par cette symbolique divine du Bélier, puisque pour eux les signes divins, c’est en haut. Mais c’est secondaire.) Et les autres signes suivront dans le même esprit dans une dimension supérieure, et ainsi de suite.

    Cela conduit à considérer le Zodiaque comme une suite d’incarnations dont le nombre est bien supérieur à douze, en forme de spirale se déroulant vers le haut, et non en forme de cercle. A chaque fin de cycle on monte d’un étage et on recommence. Jusqu’à finir par changer de « Dimension » où un nouveau « Zodiaque » plus subtil prendra place, qui ne s’appliquera plus à l’humain).

    Après avoir été Balance, on expérimente donc le Taureau (la Terre remplace Vénus, ce qui rappellera des choses aux historiens de l’humanité et aux archéologues), Taureau qui est, disions-nous, la dépendance du Soi par rapport à sa forme.

    L’autre est tout. On cesse de vouloir le séduire, on s’aperçoit qu’on en est esclave. Le Taureau parvient à maîtriser son incarnation lorsqu’il n’est plus esclave mais devient maître des lieux, qu’il maîtrise son monde, avec une autorité naturelle qui n’a plus besoin de la comédie pour arriver à ses fins. Alors il est prêt pour passer en face, dans le Scorpion, son pôle spirituel.

    Le Scorpion est le signe qui exprime la discontinuité de l’univers. La Dualité métaphysique exprimée dans le Taureau entraîne inévitablement la discontinuité du réel : les atomes sont séparés, les particules, les planètes, les individus sont apparemment distants les uns des autres, les vies sont séparées par des morts.

    Le Scorpion est devenu quasiment indépendant du monde qu’il tient à distance en n’exprimant rien et en n’étant influencé par rien. Pluton qui le régit est la planète la plus éloignée. L’ego y vit son paroxysme. Il y a moi et il y a les autres. Il est autant accro à la matière qu’obsédé par la mort. Cela peut conduire à tous les excès.

    Mais c’est aussi le lieu de l’approfondissement dans l’incarnation, à l’instar de l’alchimiste (tradition occidentale) qui cherche la vérité au cœur de l’atome (alors que dans la tradition orientale, on recherche la vérité dans le « Ciel » et la méditation), et donc le Scorpion est la source de beaucoup de génie. Par exemple en science, en psychologie, en sculpture, en architecture, en politique, en art militaire etc.

    Car c’est en plongeant au cœur de la matière que l’esprit se trouve.

    Et le signe du Scorpion est le signe métaphysique par excellence, où folie, créativité et génie se côtoient.

    La passion de l’occulte et du fondamental n’ont donc pas attendu longtemps : dès le deuxième axe zodiacal, donc dès la manifestation de l’espace, c’est là que la soif d’absolu, de solitude comme de fuite de la solitude, et donc le désir sexuel, sont les plus radicaux.

    Le déchirement ; la schizophrénie métaphysique : je ne peux pas ne pas me séparer de l’autre mais je ne peux pas le quitter. « I can’t live with or without you », que chantait Bono du groupe U2 fut le disque le plus vendu au monde. Tout le drame du couple se situe dans cet axe Taureau-Scorpion. Le Scorpion fascine car il touche au plus intime.

    Comment le scorpion va-t-il s’en sortir ?

    En passant par la case « Gémeaux » bien évidemment, c’est la suite de son destin. Devenir androgyne voire asexué, se nourrir de relations superficielles et mentales pour échapper à la souffrance du choix, échanger sans cesse, servir d’intermédiaire pour la relation des autres, voilà le retour du balancier. Le Gémeaux est un entremetteur.

    Un commerçant qui bouge tout le temps. Surtout ne plus s’incarner, surtout ne plus s’engager, c’est trop dur. Comme un adolescent qui ne veut pas entendre parler du monde des adultes.

    A force de tourner autour de l’autre, ce qui est le résultat de la dualité magnétique « je suis l’autre mais je ne peux pas l’être » que vivent toutes les particules atomiques, l’énergie finit par organiser tout le cosmos, tout, sur le modèle des relations magnétiques dualistes Gémeaux.

    Ce modèle d’organisation, seule possibilité durable, c’est la trinité du Principe de Mouvement Perpétuel qui génère toute chose selon L. R. HATEM : dualité magnétique qui correspond au Taureau, sychronisme symétrique des rotations engendrant la Dégravitation (qui exprime l’indépendance des Gémeaux), et translation orbitale qui stabilise le tout et exprime la solidité matérielle du signe du Cancer.

    Le Principe de Mouvement perpétuel, ce sont donc les signes deux, trois et quatre. Mais quel est le UN ?

    Soit dit en passant, c’est une confidence qu’il ne faut pas répéter, c’est en comparant les phases de la création que je discernais dans la théorie paternelle avec les phases cycliques de l’Astrologie que j’enseignais à l’époque, que j’ai compris le signe du Bélier (c’est-à-dire l’origine des choses) et sa dualité potentielle, la seule phase qui échappait à l’investigation physique via les aimants.

    Autrement dit la cause des causes : la Nécessité du néant. Je ne rentre pas dans les détails mais c’est de là que vient l’Hyperscience.

    C’est pourquoi j’encourage toujours à étudier l’Astrologie, meilleur moyen de se comprendre soi-même en tant qu’être et en tant que personne.

    Il est sympathique de constater que c’est du lien entre la science la plus ancienne et la plus universelle d’une part, et la science la plus moderne et la plus individuelle d’autre part, qu’est née la lumière.

    Donc le Gémeaux sans en avoir l’air, va finir par devenir une pièce maîtresse dans l’univers, c’est lui qui permet les relations, qui les organise. Sans lui, sans la Dégravitation et sa liberté, rien ne se ferait.

    Et ainsi le Gémeaux finit par devenir responsable de l’univers cosmique en tant que SAGITTAIRE. Jupiter, Zeus, est le Père des dieux, planète de l’universel (la plus grosse de toutes), et de l’organisation des univers. Fils de Chronos le temps, lui-même fils d’Ouranos l’espace.

    On voit combien la mythologie grecque est métaphysique : c’est bien de la conscience (espace-Ouranos) que vient le temps, et ensuite l’univers s’organise.

    Le temps qui fait tout pour dévorer ses enfants (annuler la création par l’amour ou la réintégration). Comme on l’a expliqué métaphysiquement.

    L’intuition des anciens se confirme avec l’Hyperscience. On remarquera même le lien entre Uranus (Ouranos) et la conscience, le Verseau étant le passage de la conscience personnelle à la conscience cosmique.

    Pour l’instant, c’est le Sagittaire le maître. Le Cosmos.

    Le père barbu et imposant. Qui sécurise le tout. C’est cette stabilisation de l’énergie de mouvement perpétuel, s’inscrivant enfin dans le temps, faisant que les atomes et systèmes planétaires sont pérennes pour ne pas dire éternels, qui permet au signe du Cancer de s’incarner.

    Le signe du Cancer, ensuite, régi par la Lune, le plus émotionnel et changeant des astres, ce qui paraît contradictoire si on ne fait pas le lien entre passé et émotions, symbolise pourtant le principe du temps et de la stabilité, ce qui lui confère une mémoire et une patience à toute épreuve.

    Changeant et déterminé à la fois, le cancerien.

    Cette matière (« maya ») est aussi la « mère » (Maria) qui donnera la vie avec le cinquième signe, celui du Lion, le Fils.

    Mais pour cela il faut passer par son incarnation spirituelle, le CAPRICORNE. Signe qui régit le temps et l’immuable.

    Tant et si bien que notre univers tend à se scléroser dans l’immobilisme.

    Tout ronronne à merveille et plus rien ne change, dans une pérennité rassurante et une régularité atomique, où les hiérarchies planétaires semblent immuables. « Je suis, de tout le firmament, l’étoile la plus brillante et la plus stable » disait le Capricorne Charles De Gaulle.

    Le signe qui domine tout le Zodiaque est celui qui prend conscience du Soi indépendant de toute circonstance matérielle, présent qui régit tout le cosmos, mais comme on l’explique dans le nouveau livre « 

    Et l’Univers Fut », ce n’est pas pour autant que le But poursuivi par la création est atteint. Il ne l’est pas, et la stabilité apparente du cosmos ne saurait en rester là. C’est le seul moyen d’expliquer l’origine de la vie organique.

    Le Capricorne va bientôt devoir expérimenter la perte de ce confort pour reprendre sa course à l’infini.

    Cela se fait par l’énergie du Soleil, celui qui insuffle la vie organique sur Terre, Soleil du Soi qu’on voit à l’extérieur tant qu’on ne l’a pas reconnu intérieur, qu’on ne peut jamais rejoindre, et dont on intègre la lumière au cœur de nos atomes faute de pouvoir s’y unir autrement.

    Et l’agitation atomique provoquée par cet insistant appel à l’évolution conduit au dépassement de l’équilibre dans des échanges de particules entre atomes qui engendrent la physique des fluides, l’eau, la circulation interne, la vie.

    Les physiciens se sont toujours demandé pourquoi l’eau existe et pourquoi elle est liquide, ils se le demandent encore aujourd’hui, ce qui est un peu ridicule tant c’est élémentaire. Comment peut-on s’accrocher à des théories incapables d’expliquer le plus fondamental ?

    Depuis 1955 l’Hyperscience répond à ces questions de façon immédiate et parfaitement satisfaisante, et permet d’expliquer la vie organique et l’évolution. Combien de fois faudra-t-il le dire pour que les regards autorisés se tournent vers elle ?

    Le Lion exprime la vie du Soleil en chacun de nous. Le Roi qui anime nos cellules. On ne peut rester éternellement dans l’immobilisme des mouvements atomiques parfaitement stabilisés et organisés, ce monde Sagittaire et Capricorne.

    Car le but appelle et il n’est pas atteint. Il faut sortir de l’équilibre, et la vie profite de l’excès d’énergie pour en sortir précisément. Et alors commencent les problèmes évidemment.

    Il va falloir se bagarrer. Changer. Prendre des risques. Et là c’est la porte ouverte à tout. A toutes les évolutions.

    L’amour, la guerre, l’art, la passion, l’exploitation de toutes les formes de liberté pour aller vers un dépassement de soi. La matière ça suffit. Il est temps de sortir de prison. DECOUVRIR.

    Cette explosion de conscience et de créativité se manifeste particulièrement avec le signe du VERSEAU, en face du Lion, celui qui « verse l’eau » de la Connaissance sur l’humanité Lion, grâce ou à cause de Zeus qui a kidnappé le beau Ganymède (c’est lui qui tient la cruche sur l’épaule), et alors toute l’illumination devient possible.

    D’abord par le courant alternatif, peut-être (c’est rigolo car Uranus régit bien sûr l’électricité autant que le progrès technologique, l’informatique et la « conquête » spatiale), mais surtout par la compréhension. L’ouverture de conscience.

    L’intelligence visionnaire du Verseau en relation avec le Tout et plus seulement avec son petit univers égotique aspire à la vérité de l’Etre. Il est humaniste, écologiste, universaliste. Il a soif de pureté et d’expériences nouvelles à tout prix.

    Il va en baver. Car tout cela se passe quand même dans un cadre matériel. On a beau aspirer à l’Absolu, il faut se soumettre au relatif, et le balancier continue son mouvement pour nous faire retomber dans le sixième signe : le signe de la Vierge.

    La Vierge est régie par Proserpine, douzième planète. Qui reste inconnue. Le but, il faudra s’y faire, est inaccessible.

    La Vierge contient toute la spiritualité, le dépassement de la condition organique. Avoir un corps vivant et pouvoir gambader dans les champs n’est pas une fin en soi.

    La fin, c’est d’utiliser ce corps et cette vie jusqu’à la corde pour encore se dépasser. Devenir le vrai Soi. Même si ça coûte un ego.

    Quand on est incarné jusqu’à l’os et qu’on n’a qu’une envie, faire l’unité, être un avec le Tout, dans un univers discontinu où on ne peut intégrer les choses qu’une à une, il n’y a pas d’autre solution que la compassion, le service, l’empathie, et bien sûr l’humilité. Comment pourrais-je à la fois aider l’autre à s’épanouir pour lui-même et défendre mon ego ? Il faut choisir, et les Vierges ont choisi.

    La plupart du temps. Enfin, souvent. Qu’elles choisissent ou pas, tôt ou tard elles finiront dans une fusion plus grande encore avec l’univers, en passant par la vie de POISSONS.

    Qui voudrait bien se fondre avec l’océan dont Neptune est le maître. Qui vit plus dans l’inconscient que dans le conscient. Qui sait que tout est illusion et en tire parfois désespoir, mais pas toujours.

    Parfois il sait que le rêve est la seule réalité.

    Que la prière est la vraie fonction de l’esprit, non l’attachement aux formes du passé. Si près de « Dieu » et ne pas pouvoir le toucher, cela pousse parfois à renoncer, à mépriser la matière ou à fuir l’existence.

    Après tout à quoi bon ? Peut-on vraiment communiquer ? L’autre existe-t-il ? Y a-t-il un univers à vivre ?

    C’est l’épreuve de « l’Oeuvre au Noir » des alchimistes, mais derrière l’Oeuvre au Noir, il y a l’Oeuvre au Rouge, le contact avec le Soi, la résurrection vers un nouveau Bélier, d’où jaillit en fait « Dieu » en tant que but, l’énergie originelle.

    « Derrière le mal de vivre il y a la joie de vivre » comme disait la chanteuse Barbara, un nouveau cycle, une nouvelle naissance, sur un autre plan, où on se rend compte que si le but est inaccessible, ce n’est pas triste loin de là, au contraire : c’est parce qu’il est inaccessible que l’amour est en perpétuelle croissance, et que l’incarnation vaut la peine d’être engendrée et vécue.

    Chaque nouveau corps est un nouveau moyen de progresser vers plus d’unité et plus de liberté.

    Si le but était accessible, qui se réjouirait de ce néant ?

    Ainsi, les six phases du cycle éternel de l’Etre, qu’on aura intérêt à étudier graphiquement dans le livre « la Fin de l’Inconnaissable » (Editions Ganymède), sont une dualité constituant douze destins par lesquels nous sommes tous appelés à passer.

    Pas forcément d’une vie sur l’autre, on peut passer plusieurs vies dans la même énergie, mais tôt ou tard tout est expérimenté dans un ordre logique qui est une spirale d’évolution infinie.

    Trois Principes de base qui sont les « Lettres-Mères » de la Kabbale, Aleph l’infinité des possibles, Mem la manifestation et Shin sa transformation, autrement dit Brahma, Vishnou et Shiva pour les Hindouïstes, ou encore Tao, Yin et Yang, ou également Bélier qui « veut

    TOUT » comme « Dieu » selon St Paul, Taureau qui ne voit que l’autre, et Gémeaux qui agite tout cela dans tous les sens pour créer des liens, trois Principes qui se manifestent chacun de quatre façons différentes (trois multiplié par quatre égale douze comme les douze Lettres doubles de la Kabbale hébraïque) selon les quatre formes successives de la manifestation : la volonté (Feu), la pensée (Air), l’émotion (Eau), et la « matière » (Terre).

    Et c’est ainsi que le point-nul sommet de la pyramide se transforme en carré-matière sur le sable de Gizeh, en passant par les quatre triangles des quatre côtés qui sont les quatre aspects de l’esprit (le triangle symbolise l’esprit), les quatre faces de nous-même.

    Car nous ne sommes ni le sommet (Père éternel ou Bélier) ni la forme apparente (Taureau ego-Fils, le carré de la matière en bas) mais la Relations qui les sépare et les unit, l’Esprit dans sa dodécuple multiplicité.

    La réalité c’est les Gémeaux, l’Androgyne spirituel des alchimistes, Hermès le Trois Fois Grand (« Trismegistos »). La Relation.

    Façon de se rappeler à la réalité symbolique, car chacun de nous est bien sûr l’ensemble de ces douze signes, qu’il vit et revit successivement sur une multiplicité de plans, et chaque fois qu’on en vit un on croit que les autres sont extérieurs.

    Et c’est dans la matière qu’on les voit. Mais ce n’est qu’une question de temps pour s’apercevoir que l’autre c’était ou ce sera soi, tant il est vrai que nous ne sommes pas séparés les uns des autres par de l’espace mais par du temps.

    Les Astres, les Autres, ne peuvent vous être que favorables.

    Et il en est ainsi.

    frank HatemFrank Hatem

    MERCI DE DIFFUSER CE TEXTE ET D’EN INDIQUER L’AUTEUR

     

    ET LA SOURCE:LAPRESSEGALACTIQUE.ORG


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  • Si l’on connaît la connexion entre la colonne vertébrale et les organes déterminés, on peut comprendre plus facilement l’origine de nombreuses douleurs, aussi bien physiques que psychologiques.

    Le lien entre la colonne vertébrale et les organes

       

    La colonne vertébrale est notre soutien, et c’est grâce à elle que nous pouvons réaliser toutes nos tâches quotidiennes.

    Chaque vertèbre a une tâche spécifique, notamment celle de protéger le système nerveux central (formé du cerveau, des nerfs et de la moelle épinière).

    Dans cet article, nous allons vous expliquer quel est le lien entre la colonne vertébrale et les organes. C’est vraiment intéressant !

    La colonne vertébrale et sa fonction importante

    Le cerveau se charge d’envoyer des impulsions (ou des ordres) à travers la moelle épinière et les nerfs rachidiens pour que chaque cellule sache que faire.

    De cette manière, toutes les fonctions vitales sont assurées.

    La colonne vertébrale se charge de protéger ce système de communication entre l’esprit et les organes.

    C’est pour cela que lorsqu’il y a un déplacement de vertèbres, aussi petit soit-il, un nerf se comprime et devient un obstacle pour que les messages arrivent à destination.

    Ainsi, le fonctionnement du corps dépend de la colonne vertébrale.

    Le lien entre la colonne vertébrale et les organes

    Les vertèbres et leur lien avec les émotions et les maladies

    Le mal de dos est si fréquente qu’il ne nous étonne plus.

    Il peut être dû à de nombreuses heures assis face à un ordinateur, ou au fait de mal dormir ou de porter des objets lourds.

    Savez-vous que les contractures sont aussi liées aux sentiments et aux émotions?

    La surcharge du dos a un lien avec la manière dont nous nous sentons.

    Chaque partie de la colonne vertébrale correspond à un organe, une émotion et une douleur.

    La zone cervicale

    Le lien entre la colonne vertébrale et les organes

     

    Elle se trouve entre le crâne et les épaules, et elle est composé de 7 vertèbres (lorsqu’on les représente, chacune est accompagnée du C de Cervicale et d’un numéro pour les reconnaître).

    La zone cervicale reflète le centre énergétique, l’ouverture vers la vie et la communication.

    C1: C’est le soutien et l’équilibre de la tête. Quand elle doit supporter une pression, cela provoque des maux de tête, des problèmes pour exprimer ses émotions ou des déséquilibres dans le système nerveux.
    C2: Elle est connectée aux yeux, au nez et à l’odorat.
    C3: Elle est liée aux os, aux nerfs, à la peau et au visage. On la connaît sous le nom de la « cervicale solitaire ».
    C4, C5 et C6: Elle travaillent ensemble.

    C’est pour cela que quand l’une d’entre elles a un problème, cela se répercute sur les autres. Elle est aussi liée à la glande thyroïde, aux cordes vocales, au pharynx et à la bouche.
    C7: La dernière des cervicales exerce de la pression sur les épaules, les coudes et les mains.

    La zone dorsale

    zone-dorsale

    Elle est composée de 12 vertèbres qui vont des épaules jusqu’au tour de taille.

    Voici les organes les plus importants.

    Lorsque l’une des dorsales est affectée, cela se traduit en un mauvais fonctionnement général ainsi qu’un manque d’énergie envers les membres inférieurs.

    D1: Elle correspond aux pointes des doigts, aux coudes et à, la respiration (d’où l’asthme ou les maladies pulmonaires).
    D2: C’est la vertèbre du cœur et des poumons, mais aussi des émotions et des sentiments.
    D3: Elle est liée à la poitrine et à la respiration.

    Lorsque nous ressentons une oppression au niveau de cette zone, cela se traduit au niveau émotionnel et physique.
    D4: Elle a un contact avec la vésicule biliaire ainsi qu’avec les désirs, les tentations et les plaisirs. Puisqu’elle est au centre du corps, elle a pour tâche d’équilibrer notre quotidien.
    D5: La circulation sanguine et le foie sont représentés par cette vertèbre. Elle contrôle et se charge de nos actions et de nos problèmes.
    D6: Elle active l’auto-critique et l’acceptation de ce qui arrive. De plus, la sixième dorsale est liée à l’estomac.
    D7: Elle est liée au pancréas et au duodénum. Elle est chargée de nous rappeler que nous devons dormir et nous détendre.
    D8: Elle héberge les insécurités et les peurs, et elle est connectée au sang et à la rate. Elle est liée à la douleur dans le diaphragme.
    D9: S’il y a des problèmes au niveau cette vertèbre, des allergies ont lieu et les émotions sont plus fortes. Elle est liée aux glandes surrénales.
    D10 et D11: Elles sont en lien avec les reins, les nerfs, les tension et les insécurités.
    D12: Elle est essentielle car elle est connectée au côlon, au gros intestin, aux articulations et au système lymphatique. Chez les femmes, elle se réfère aussi aux trompes de Fallope. En ce qui concerne les sentiments, elles est liée à l’envie et à la critique.

    La zone lombaire

    zone-lombaire

    Les lombaires sont au nombre de 5 et peuvent être très douloureux lorsque nous n’avons pas une bonne position au moment de nous asseoir ou lorsque nous faisons une tâche trop difficile physiquement.

    Ils soutiennent notre partie supérieure et assurent la communication avec la partie inférieure.

    Ils sont liés à la sexualité et à la sécurité.

    L1: Il se connecte aux intestins et son déséquilibre provoque de la constipation et de l’indigestion. Il canalise l’impuissance et les conflits internes.
    L2: Il lie l’abdomen et les jambes. Quand il est affecté ou surchargé, nous nous sentons seuls.
    L3: C’est la vertèbre des organes génitaux et du système urinaire, mais également des articulations (surtout des genoux).
    L4: Chez les hommes, elle est connectée à la prostate. Elle peut aussi refléter des problèmes avec le nerf sciatique.
    L5: Il est lié aux genoux, aux pieds et aux jambes.

    La zone du sacrum

    Pour finir, cette zone se compose de 5 vertèbres et elle est liée aux désirs sexuels, à la sécurité et au contrôle (S1 a S3).

    Les vertèbres S4 et S5 reflètent les problèmes rénaux, l’infertilité, les déséquilibres hormonaux, la mauvaise circulation sanguine et l’obésité.

    Source : http://amelioretasante.com


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  • Devant la douleur de ceux qui pleurent et grâce aux possibilités infinies que les forces bienfaisantes de la nature et de Dieu accordent à ceux qui veulent se dévouer, il y a une sainte tâche à remplir. Pour cela, il faut une disposition d’esprit, un don de soi, une confiance totale en l’Energie créatrice, en Dieu, et aux esprits parvenus au stade de bonté qui fait les âmes grandes et généreuses.

    hopital-guerisseurs

    En rédigeant ce dossier, nous n’avons pas d’autre but que d’apporter au lecteur les bases qui sont celles en lesquelles le rédacteur croit, là encore il ne s’agit pas de la vérité, mais d’une vérité.

    Le guérisseur spirituel n’a souvent besoin ni de « passes » ni de contacts matériel avec le malade, il peut guérir aussi bien à distance qu’en contact, instantanément ou progressivement, assistés d’esprits bienveillants. La voie dans laquelle le guérisseur s’engage est difficile mais dispensatrice de joies profondes et Vraies. Joies de l’âme et du coeur. La vision de l’état du médium guérisseur, est celle du guérisseur sous l’angle moral et spirituel. Cela implique bien des abandons et des devoirs. Il s’agit, en premier lieu, de vaincre en soi « le vieil homme » et d’accepter le nouveau, celui qui a volonté de se rapprocher toujours plus de la spiritualité de Dieu.

    « Pense à Dieu aussi souvent que tu respires. » Epictète

    Par-là, il voudrait montrer la voie qui mène à la connaissance, à l’atteinte du Divin par la prière, car toute pensée de compassion, de bonté, tout élan de la personne vers Dieu, est une prière et la prière est essentielle à l’action guérissante. La prière quelle que soit sa forme, est seule à déclencher les forces pures au bénéfice de la détresse, de la souffrance humaine. Il est d’ailleurs constaté que chez les grands guérisseurs mystiques, dignes de cette appellation par la droiture et la dignité de leur vie, la force spirituelle qu’ils reçoivent est d’essence supérieure, elle diffère du fluide magnétique végétal, animal ou humain.

    Sans aller jusque là dans notre quotidien, nous pouvons tout de même penser que les qualités morales et spirituelles du guérisseur seront dispensatrices de fluides bienfaisants émanant de son propre fluide, allié à celui des esprits qui lui sont supérieurs. Ainsi plus le guérisseur sera en Dieu, en l’Amour, en la Foi, en l’Humilité, plus il s’élèvera moralement, plus il bénéficiera des fluides de l’autre monde, parfois à son insu, nous pourrions même dire « souvent » à son insu.

    « Si les médecins échouent dans la plupart des maladies, c’est qu’ils traitent le corps sans l’âme, et que, le tout n’étant pas en bon état, il est impossible que la partie se porte bien.« – Platon«

    La médecine spirituelle transporte son action dans le plan astral en agissant sur la source même de la vie, réparant les fonctions inconscientes, les tissus. Les maladies sont atteintes dans leurs sources mêmes. Le guérisseur est un foyer de force spirituelle et fluidique, il agit directement sur « l’âme » du malade, la partie malade se modifie sous les mouvements de la force, les molécules les plus denses soumises à l’action du courant spirituel changent progressivement la vitesse de leurs vibrations. L’harmonie alors se rétablit.

    Les vibrations lumineuses et régulières qui lui sont envoyées par le guérisseur, qui les reçoit « d’en haut », rétablissent les vibrations irrégulières du malade. « Une condition favorable est que dans la vie privée, la conscience humaine ait la volonté de s’ouvrir au principe Divin, se montre capable de recevoir la vie mise à sa portée par le don de guérisseur » nous explique le Dr Bertholet.

    Ceci voudrait-il dire aussi que le malade doit être partie prenante de sa guérison ?

    Nous dirons oui et non, dans le sens où plus le malade est convaincu par la guérison spirituelle, plus celle-ci aura un effet puissant sur lui.

    Que dire alors des animaux ou des bébés, qui guérissent ainsi particulièrement bien (l’action guérissante, est parfois fulgurante sur les animaux), puisqu’ils « n’acceptent pas » ?

    Nous en déduirons que si le malade n’est pas partie prenante des soins spirituels, il ne doit pas la refuser (psychologiquement). Il doit se laisser faire. Qu’il soit dans le doute au départ, n’est pas un obstacle, mais s’il est intimement convaincu que cela ne se peut, alors le guérisseur ne pourra rien pour lui, sauf à lui prodiguer des soins à distance, sur photo ou par la pensée, à son insu bien sur, pour qu’il n’y ait pas blocage.

    La faculté guérissante, véritable bienfait pour celui qui l’ayant méritée, la possède et la pratique avec humilité et désintéressement, est une récompense de tous les instants.

    Intervention de l’esprit : « La médiumnité guérissante est l’apanage des justes, des bons et des mystiques. Seul un coeur altruiste et élevé pourra y accéder. Dieu n’accorde son fluide qu’aux méritants. Elevez-vous mes frères, vous atteindrez Dieu ».

    Toutes les méthodes sont bonnes mais parfois incomplètes selon le malade auquel elle est appliquée.

    Un guérisseur dira qu’il guérit uniquement par la foi, un autre uniquement par la prière et imposition des mains sur le front du patient, un troisième ne travaillera qu’à distance par la pensée, un autre encore uniquement par des passes magnétiques et l’eau magnétisée. La plupart du temps le guérisseur se fiera à son intuition et travaillera probablement ainsi toute sa vie et c’est très bien, mais peut-être gagnerait-il parfois, à s’ouvrir aux autres pratiques afin que, par une astucieuse combinaison, il puisse accentuer les facultés que Dieu lui accorde….

    La plupart des médiums guérisseurs le sont inconsciemment. Ils ne se rendent pas compte de leur faculté. Ils se croient magnétiseurs sans jamais s’apercevoir de l’aide qu’ils reçoivent des esprits. Ils exécutent des gestes sans trop savoir pourquoi ils font tel ou tel geste, ils prient en pensant que telle ou telle formule est plus apte dans ce type de maladie que dans une autre, ou recommandent une formule de prière à leurs malades. On les trouve beaucoup chez les personnes les plus humbles, chez celles qui ont une foi, un amour, un altruisme élevés. Quant à la prière, peu importe les mots, seul l’élan d’amour vers Dieu et vers le malade est important.

    Les guérisseurs spirituels

    C'est pourquoi, vous voyez mon logo , mon symbole avec mes mains pleines de lumière ! 

     

     


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  • par Martine Vallée

    régénération

    Bruce Lipton a démontré de façon magistrale que nos croyances affectent notre fonctionnement biologique. Il semble crucial de connaître le pouvoir inhérent à nos cellules pour devenir quantiques ou plutôt pour découvrir que nous le sommes.

    Nous comprenons à peine le monde « invisible » qui constitue pourtant 90 % de qui nous sommes.

    En fait, je pense que nous serons très étonnés des pouvoirs que nous possédons. Dans le monde quantique, on se focalise sur l’énergie plutôt que sur la matière.

    Selon Bruce, chaque cellule possède son propre champ énergétique.

    Ainsi, si nous sommes, comme vous le dites, « assis au volant » en ce qui concerne nos cellules, que se passe-t-il quand elles sont endommagées, quand des toxines sont présentes dans le corps, ou quand survient un traumatisme? Si les signaux reçus ou envoyés par les cellules sont » étouffés « , cela cause sûrement un dysfonctionnement et des maladies.

    Quand des cellules sont physiquement endommagées, le sont-elles également sur le plan énergétique, ou bien les deux aspects sont-ils indépendants?

    Les cellules se divisent régulièrement pour se reproduire et elles ne créent pas nécessairement des cellules endommagées! Par conséquent, même s’il y a un dommage énergétique, il faut aussi poser la question quantique: Que créeront ces cellules quand elles se diviseront de nouveau?

    Voilà un processus fondamental qui intéresse ceux qui traitent de biologie et de conscience.

    Chaque organe du corps se régénère, même la peau (1′organe le plus vaste). C’est ce qui vous garde en vie et vous permet aussi de vivre longtemps. Au cours du processus constant de régénération, l’ADN qui constitue la structure cellulaire fournit les instructions relatives à la division cellulaire.

    La plupart des humains considèrent ce processus comme un simple phénomène biologique et statique. Et si je vous disais que chaque fois que les cellules se divisent, elles demandent à l’ADN quantique: « Encore une fois? Comme avant? Exactement la même chose? »

    Si vous parlez à vos cellules, elles reçoivent alors une directive. Si, comme la plupart des humains, vous pensez ne pas pouvoir intervenir dans un « processus corporel », vous laissez alors le corps faire ce que vous pensez qu’il fait de lui-même et vous n’entendez jamais la question que posent vos cellules.

    Cependant, si vous ajoutez au processus la conscience de l’humain qui parle à ses cellules, un miracle quantique se produit, auquel vous ne croyez toujours pas. C’est l’humain qui dirige les opérations. Chaque jour, il dit à ses cellules: « Chère structure cellulaire, crée en moi la santé parfaite à laquelle j’ai droit. Élève tes vibrations. Reflète le créateur en toi. »

    L’ADN peut alors répondre aux questions des cellules lorsqu’elles se divisent.

    Sa réponse ressemble à ceci : « Crée une nouvelle cellule possédant un nouveau programme, non celui de la cellule endommagée, qui était faible, mais un autre, qui est fort. Prends modèle sur celle qui a résisté à la maladie, car elle est immunisée contre celle-ci. Va à l’intérieur et puise ce que l’âme a déjà gagné et vécu. Prends celle de la vie qui est toujours active dans l’Akash en tant que « modèle potentiel ». »

    Voyez-vous ce qui se produit alors? L’être humain ne peut vraiment pas savoir à quoi ressemblent ces programmes, mais ces derniers sont tous fondés sur ce qu’il a été.

    Chaque modèle et chaque nuance de chaque vie sont là. Toutes vos forces et tous vos talents sont là. Tout ce que vous avez appris sur Dieu est là, au même titre que toute expérience spirituelle. Il s’agit simplement de dire chaque jour aux cellules de « collaborer pour refléter le créateur intérieur ». Ainsi, vous leur donnez des indices sur ce que vous désirez être ou sur le nombre d’années que vous voulez vivre! Dès lors, l’ADN, qui est plus que quantique, fera le reste.

    N’abordez pas la chose comme si vous parliez à un processus. Faites comme si vous vous adressiez à la plus puissante base de savoir de l’existence.

    Elle « sait » ce dont vous avez besoin. Ne lui dites pas, par exemple, d’aller « chercher le guerrier de la vie numéro 254″. Devenez suffisamment quantique pour comprendre que vous parlez à l’énergie quantique d’un savoir qui vous concerne. Les cellules vont capter votre intention, un point c’est tout. L’intention n’est pas partagée entre le physique et le non-physique. Les choses quantiques sont affectées par les choses quantiques, et votre conscience est la chose la plus quantique que vous possédiez et que vous puissiez contrôler.

    Abordez donc cela dans l’amour, non dans le protocole. N’écrivez rien. Ne vous demandez pas à quel moment vous devriez le faire ni ce que vous devriez dire. Comprenez que votre ADN vous écoute à plein temps. Mais, dans votre linéarité, vous tentez de l’impressionner, de choisir le « meilleur » moment pour lui parler, ou encore vous vous dites: « Si je fais face au nord, la communication sera sans doute meilleure. »

    Vos cellules sont vos meilleures amies, toujours prêtes à suivre vos instructions. Elles sont sans cesse à l’écoute. Pourquoi ne pas commencer en leur disant: « Je vous aime. »

    Pas facile à faire. En général nous avons une très mauvaise image corporelle, mais dans le cas des anorexiques, c’est particulièrement vrai. Quand nous les voyons, nous les trouvons très maigres alors qu’eux s’estiment gras quand ils se regardent dam le miroir. Cette mauvaise perception qu’ils ont d’eux-mêmes suggère à leur corps de se débarrasser du gras, alors qu’en fait ils n’en ont pas à perdre. Qui plus est, ils meurent souvent d’une telle déficience. Voilà qui démontre l’importance de la perception du corps. Quand elle est faussée, elle peut conduire à la mort. Mourir à cause d’une fausse perception, c’est quand même épouvantable!

    Notre vision de la vie détermine-t-elle quels gènes seront activés?

    Ce n’est pas que les signaux émis sont mal perçus. Le corps est beaucoup plus intelligent que cela. C’est simplement qu’il constate une absence de communication, car une mauvaise perception entraîne une incapacité pour l’humain de communiquer adéquatement avec ses cellules. Par conséquent, celles-ci ne reçoivent aucun message, plutôt qu’un mauvais, et font tout bonnement ce qu’elles ont toujours fait, soit réagir de leur mieux, en l’absence de directives, au monde tridimensionnel qui les entoure.

    Sans directives de la conscience, les émotions se traduisent en réactions chimiques déséquilibrées. C’est là la réponse à la question posée. Le corps n’entend rien, puisque l’humain ne lui donne aucune directive. Alors, il interprète les émotions comme de la peur, de l’anxiété, un sentiment de danger, soit seulement l’intrant de base, qui n’est absolument pas contrôlé.

    Le corps réagit donc à ce déséquilibre émotionnel en se débarrassant du gras. Il ne réagit pas à de mauvais signaux. Il s’agit plutôt du fait qu’il n’y a pas de communication, mais seulement des réactions chimiques, lesquelles ont besoin des directives quantiques de l’humain.

    Les cellules écoutent la « radio » de la conscience humaine, mais rien n’y est diffusé. Elles ne perçoivent donc que les réactions chimiques des émotions qui leur sont présentées. C’est là une directive grossière, mais le corps y réagit. Cependant, si la radio s’activait, il ignorerait ces signaux grossiers et il écouterait les signaux raffinés provenant de l’humain lui-même.

    Les gènes sont les attributs tridimensionnels du modèle quantique. Les marqueurs génétiques sont toujours en transition et ce que vous faites dans cette vie-ci se transmet biologiquement à votre descendance. C’est ce qu’on appelle le « karma biologique ». En d’autres mots, vous héritez de la composante tridimensionnelle de vos parents biologiques.

    Cependant, votre ADN contient aussi l’Akash de vos expériences de vie. Cela peut sembler complexe, car l’énergie tridimensionnelle et l’énergie quantique sont mélangées, mais ça ne l’est que pour l’esprit tridimensionnel puisque la composante tridimensionnelle héritée n’est qu’un attribut du casse-tête quantique.

    Pouvez-vous changer les marqueurs génétiques pour la reproduction de vos gènes?

    Oui! Vous devenez ce que vous pensez.

    Le plus intéressant, c’est que vos enfants hériteront des effets de votre pensée! Vous êtes constamment anxieux? Les marqueurs réagissent à cela. Vous êtes en paix parce que vous venez de découvrir l’amour de Dieu? Les marqueurs y réagissent. Réfléchissez un peu: vous y êtes pour beaucoup dans la propension des marqueurs à la maladie et au déséquilibre dans la production des gènes, propension transmise à la génération biologique suivante.

    J’ai incité mon partenaire à écrire un livre sur l’ADN et cet ouvrage sera disponible dans « l’année du trois ». Au cours de cette communication, je lui ai demandé de démontrer la divinité de l’ADN et son activité spirituelle.

    Réfléchissez un peu: si le créateur est en vous, alors la création elle-même y est aussi. Posez-vous la question:

    Comment cent mille milliards de boucles d’ADN peuvent-elles travailler ensemble comme une seule? Il doit bien y avoir quelque chose qui les unit!

    Tout à fait, et c’est le champ quantique qu’elles produisent. Ce champ est la Merkaba humaine, un chariot sacré qui porte la maîtrise du fragment de Dieu qu’elles constituent.

    Réfléchissez encore: cela signifie que l’ADN n’est pas seulement intelligent, mais qu’il est conscient et qu’il « sait » ce dont vous avez besoin. Cependant, il ne fera rien en direction de ce pas quantique tant que l’être humain sacré ne lui aura pas dit d’entrer en action.

    C’est pourquoi nous vous disons de ne pas séparer l’amour de Dieu du processus biologique, car en vous se trouve un système d’amour créé dans l’amour et alimenté par l’amour.

    Si vous devez « parler à vos cellules », la meilleure façon de le faire est d’abord de tomber amoureux d’elles et de les voir comme une belle création quantique beaucoup plus grandiose que vous ne le pensez. Elles font partie d’un récepteur géant qui n’attend que votre communication.

    Ne demandez pas seulement ce dont vous avez besoin. Soyez un partenaire amoureux du processus. Fusionnez avec sa quanticité et détendez-vous en elle. Comme vous ne pouvez séparer Dieu de votre ADN, pourquoi ne pas vous y joindre?

    La plupart des humains n’émettront jamais rien sur la « radio de l’ADN « . Comme le récepteur n’entendra rien, les cellules feront ce qu’elles ont toujours fait, soit réagir aux réactions chimiques créées par le processus émotionnel et par la réalité tridimensionnelle qui les entoure.

    Toutefois, les quelques humains qui se transforment affectent l’ensemble. C’est la base de l’énergie quantique. Il n’en faut pas beaucoup pour changer le goût de toute la soupe.

    Extraits du livre « 2011 Devenir : Éveiller le grand potentiel humain« , p. 19 à 23.
    Éditions Ariane 2010


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  • Au moins, comment réagissez-vous au début, avant d’avoir pris le temps de vous ressaisir ?

    EFTLes réactions les plus fréquentes ressemblent à : « Tout irait mieux si les autres étaient différents », ou « Je devrais faire autrement, je devrais être autrement », ou encore « La vie est vraiment dure ».

    En d’autres termes :
    C’est la faute des autres
    C’est ma faute
    Et même « c’est la faute de la vie ».
    Sûr(e) qu’on ne peut pas trouver mieux ?

    Il y a même urgence de trouver mieux : en une heure de « ruminations » sur un sujet, il se crée des millions de synapses, qui associent la situation à de nouvelles raisons de râler et de se plaindre. Une heure plus tard, le nombre de ces synapses a doublé, deux heures plus tard quadruplé, et ainsi de suite.

    Voilà comment on s’auto-persuade rapidement qu’on est une pauvre victime impuissante, la personne la plus malheureuse du monde. Et qu’on interprète de plus en plus souvent les événements de cette manière…

    Des outils pour retourner la situation en positif

    Chaque situation douloureuse réactive des « blessures », des souvenirs douloureux plus ou moins inconscients. On peut donc la voir comme un révélateur, comme une opportunité de guérir d’anciennes souffrances mal cicatrisées.

    Très optimiste, ce point de vue… On dirait que tu n’as jamais vécu de gros problèmes.
    Bien sûr que si. Et j’ai aussi commencé à critiquer et à geindre. Mais pendant moins de temps qu’avant …
    Pourquoi ?
    Parce que je m’imprègne autant que je peux de super outils, dont il va être question dans cette conférence.
    Des outils pour :
    • reconnaître rapidement ce qui est touché,
    • le guérir.

    Reconnaître les blessures touchées par la situation

    EFTLe concept des blessures de l’âme est le résultat de recherches de Wilhelm Reich, John C. Pierrakos et Alexander Lowen, il a été ensuite popularisé par Lise Bourbeau.

    Pour prendre de la distance par rapport à une situation difficile, c’est utile d’avoir en tête la liste des 5 blessures les plus courantes. Plutôt que de ruminer des pensées moroses, il vaut mieux se demander par exemple :
    Est-ce que je me sens trahi ? rejeté ? abandonné ? humilié ? traité injustement ? ou cela pourrait-il se formuler d’une autre manière encore ?
    Dans quelles situations de mon passé j’ai vécu la même émotion ? Est-ce répétitif ? Est-ce que je l’ai vécue souvent ?

    À travers quelques situations que proposeront les participants, nous réfléchirons ensemble aux questions suivantes :
    Comment ne pas retomber dans les anciennes habitudes de condamner les autres, nous-mêmes ou même … la vie ?

    Comment reconnaître les blessures que la situation a réactivées ?
    Et surtout, surtout, comment les guérir ?

    Guérir ces blessures (de plus en plus)

    EFTPour cela, l’EFT (Emotional Freedom Technic, Technique de Libération Emotionnelle) est un outil incroyablement simple et efficace. Elle consiste à stimuler une quinzaine de points d’acupuncture, tout en pensant à ce qu’on veut guérir.

    Après en avoir expliqué rapidement les bases (elles s’apprennent en quelques minutes), nous utiliserons l’EFT à partir d’une ou deux situations que les auditeurs auront proposées. Si vous le souhaitez, vous pourrez refaire plusieurs fois ce même tapping par la suite : vous serez surpris par vos différences de ressenti, d’une fois sur l’autre.

    À travers l’énergie du groupe, un tel travail collectif vous apportera beaucoup, même s’il ne semblait pas, a priori, vous toucher directement. Et aussi, nous avons tous un seul problème, le même sous des formes différentes : nous sommes encore trop coupés de notre Divinité Intérieure. Chaque fois que nous guérissons nos blessures d’âme, nous nous relions un peu plus à Elle.

    Claude CanivezClaude Canivez

    Au cours de sa scolarité dans une école religieuse, Claude Canivez a beaucoup cherché à comprendre les contradictions entre ce qui était dit et ce qui était pratiqué. En cherchant des réponses, elle s’est passionnée pour la psychologie, l’ésotérisme, la parapsychologie, les diverses religions, et la pédagogie bienveillante.

    Devant toutes ces « pièces de puzzle », et après bien des discussions sur le sens de la vie, elle avait trouvé au moins une base solide : pour commencer, le sens de sa vie serait d’en chercher un.
    eftLe puzzle commença à prendre forme lors d’un séjour de 4 ans en Côte d’Ivoire, en tant qu’enseignante en collège.

    Là, tout ce qu’elle avait lu sur les fantômes, esprits de la Nature, réincarnation, magie, était raconté par des « vraies personnes », qui y avaient été confrontées directement. Il fallait absolument en savoir plus.
    eft
    De retour en France, elle continue sa recherche par des lectures, et de nombreux stages de développement personnel : rebirth, Analyse Transactionnelle, sophrologie,

    Rêve Éveillé, et surtout soins énergétiques (méthode Corps-miroir).

    eftPendant ce temps, elle était enseignante : cours particuliers de maths (collège), puis rattrapage pour des enfants en difficulté scolaire à l’école primaire.

    Elle était encore plus attirée par la compréhension du psychisme de ses élèves, que par la pédagogie proprement dite. Il n’y a pas de « nuls en maths » ! Seulement des gamins tétanisés à la vue d’une équation. Pourtant, on peut les aider à reprendre confiance en eux, à condition de tenir vraiment compte de leur ressenti.
    eftEn 2009, elle découvre l’EFT sur Internet. (EFT : Emotional Freedom Technic, Technique de Libération Emotionnelle) : un vrai coup de foudre !

    Elle n’a plus arrêté de l’expérimenter depuis, et d’y découvrir sans cesse de nouvelles utilisations.
    eftEn 2013 : elle a commencé l’écriture d’un blog : « J’aime l’EFT », puis est enfin devenue thérapeute… avec passion ! 

    Claude Canivez
    Site web : www.jaime-left.com

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